REDIFFUSION | Faits saillants de l’Angleterre à propos de la Football Association, et bien plus avec Coach Frank.

Baladodiffusion
December 22, 2025

Durant cet épisode, Coach Frank discute avec Vincent Rivest, directeur de l'optimisation chez Temps d'Arrêt, des faits saillants de l’Angleterre à propos de la Premier League, des Brisbane Lions, du England Cricket Board, de la Royal Academy of Dramatic Art, de la Football Association, de British Cycling, du Imperial College London, et de Leeds Beckett University.

Notes & sources

Notes de l'épisode :

00:00 Introduction au Podcast et Objectifs
02:50 Voyage d'Étude en Angleterre
05:59 Expériences Sportives et Culture Européenne
08:33 Présentations Marquantes au Sport Performance Summit
15:32 Leçons des Brisbane Lions sur la Culture d'Équipe
25:27 Leçons des Organisations Centenaires à Succès
28:41 Les défis du succès durable
30:08 L'importance de l'expérimentation
31:10 Le bien-être et la performance dans le sport
32:55 Le modèle de préparation en Formule 1
35:34 L'apprentissage comme avantage compétitif
39:31 L'importance de documenter les apprentissages
48:26 Maintenir la motivation après une victoire
50:40 Établir des relations de confiance avec les athlètes

Transcription

speaker-0 (00:00.446)

Épisode 108, les dernières tendances selon les Brisbane Lions, le England Cricket Board, le Royal Academy of Dramatic Art, la Football Association, la Fédération cycliste de l'Angleterre, le Imperial College London et Leeds Beckett University. Bonjour tout le monde et bienvenue à temps d'arrêt avec coach Frank présenté par Madore Hmel. Je suis votre animateur François-Rodrigue et mon intention avec ce balado

est de déconstruire l'art et la science du sport, l'excellence dans le coaching, le coaching de long et en large. Parce qu'en tant que docteur en coaching, bien, j'ai la chance de travailler avec des entraîneurs professionnels et d'analyser la science à chaque semaine. Ce podcast est donc ma façon de vous amener au cœur de mon travail pour décomposer la stratégie de ces entraîneurs-là ou bien même les conclusions des dernières études de scientifiques. Si tu veux en savoir plus sur ces sujets-là ou la complexité de la job d'entraîneur chef,

Je t'invite à t'abonner au Ballado ou à l'infolettre via le site web coachfrankphd.com. À toutes les auditrices et à tous les auditeurs fidèles, je vous invite à me suivre aussi sur les médias sociaux, à rebordage coachfrankphd. Avant de débuter, je précise que ce podcast est indépendant de mon rôle de professeur en kinesiologie à l'Université du Québec en Outaouais, comme je prends les conflits d'intérêts très au sérieux. Je vous invite à consulter la page concernant mes engagements professionnels sur mon site web.

le coachfrankphd.com pour en savoir plus. Donc, autrement, vous allez voir votre caisse et je donne la parole à Vincent. Vincent, bienvenue à Temps d'arrêt.

Merci, merci, ça me fait plaisir d'être là.

speaker-0 (01:36.366)

Bien, je suis bien content tu sois avec nous parce que là, j'allais pour parler de mon voyage, mais j'étais comme, ça va faire un peu drôle si je fais juste parler de mon voyage par moi-même. On retourne aux premiers épisodes de temps d'arrêt, justement. Donc Vincent va être là pour faciliter peu la conversation parce que je pense qu'il quand même plusieurs petites leçons à retirer du voyage que j'ai été faire en Angleterre. Puis Vincent va nous aider à tout mettre ça en contexte pour les entraîneurs et les personnes qui travaillent dans le sport.

Et plus sérieusement, tu pas juste là parce que tu as une belle coupe de cheveux, Vincent est là parce qu'il complète aussi présentement une maîtrise en administration du sport à l'Université d'Ottawa, en plus d'avoir été entraîneur au hockey pendant plusieurs années et fait not war. Il a été le gardien d'urgence à deux reprises pour les sénateurs d'Ottawa de la ligne nationale de hockey durant la saison 2023-2024, qui n'est toujours pas terminé. Donc peut-être qu'au moment que vous allez écouter ça, on va être rendu à 4, à 5, à 6 ou à 7.

Je ne pas prier pour des blessures au gardien de but, mais ce serait quand même le fun de te voir en action. Ça serait intéressant, ferait une belle histoire à compter. Donc Vincent est vraiment là aujourd'hui pour m'aider à faire ressortir toute la valeur possible de ma visite d'étude de 7 jours en Angleterre. Donc Vincent, à toi le micro. Par aussi qu'on commence.

ça serait intéressant.

speaker-1 (02:50.126)

Mais moi, Frank, j'aimerais savoir pourquoi tu as décidé de t'expatrier en Angleterre pendant sept jours et avec trois filles à la maison?

Oui, chez nous le développement professionnel est très important, que ce soit pour moi ou pour ma conjointe. Dès que j'ai parlé d'idée, elle était d'accord avec ça. On fait vraiment une bonne équipe à la maison. Elle était comme « go for it, si ça va être utile pour toi, si ça va être utile pour ton développement, je vais ». L'idée en boule ligne, c'est une expression que j'ai dit à plusieurs reprises durant le voyage, mais que je ne savais pas trop comment vraiment bien traduire. Mais l'expression qui représente un peu l'intention, c'est « je veux être un coordonnier bien chaussé

C'est-à-dire que je coach des coachs, je parle de développement professionnel, je parle de l'apprentissage, j'encourage les gens à faire des visites d'études. Je peux pas après ça, moi, me retirer de mon bar et faire comme attends peu parce que moi je comprends comment ça marche ». Fait que je ne pas avoir de coaching, je ne vais pas faire de visite d'études, ne pas faire de développement professionnel. Fait que l'idée c'était vraiment d'être un coordonnier bien chaussé qui se traduirait potentiellement selon mes amis à Ladybucket University, le coublure with good shoes ».

Pardonnez-moi la prononciation, puis c'est peut-être pas exact, mais je pense que ça représente vraiment l'idée de mon voyage, de prêcher pour ma paroisse en bout de ligne, de faire ce que je prêche en bout de ligne.

Tout à fait. Et qu'est-ce qu'il y dans ton agenda là-bas?

speaker-0 (04:08.482)

J'ai essayé vraiment de maximiser le côté professionnel, je ne pas allé voir Big Ben, je suis allé voir Buckingham Palace. En réalité, je faisais le Red Isle, donc le vendredi. J'arrivais là-bas, train direct pour Manchester, où c'est que là, c'était vraiment ma journée plus plaisée. J'allais voir mon collègue Liam McCarthy de l'Université de Leeds-Bekett, que j'ai rencontré depuis 2017 à quelques conférences, qui co-d'ailleurs le marathon de New York en bas de trois heures. C'est pas important pour votre développement professionnel, mais quand même...

impressionnant.

En plus d'être un chercheur qui fait du travail avec la Premier League, tu vois qu'il quand même un côté professionnel et personnel développé. Puis là, c'était une bonne journée de plaisir. C'est un fan de Manchester United depuis qu'il est rendu. J'ai payé la traite pour les parties, puis on a passé une belle journée ça. Je raconterai les détails à un autre moment de cette journée-là, mais ça a été vraiment le fun d'avoir le match, ensuite de ça, un repas un peu exclusif en arrière, puis une belle soirée arrosée. Par la suite, ça a devenu un peu plus sérieux.

où est-ce que je passais trois jours avec Leeds Beckett University, particulièrement avec Ian Coburn, Julian North, Liam McCarthy, trois chercheurs qui sont là, Anna Stoddard aussi qui est une chercheur qui coche du rugby aussi en Angleterre. Puis ensuite de ça, dans les deux dernières journées le plus sérieuses encore une fois, c'était au The Sport Performance Summit qui est présenté par Leaders in Sport, par Leaders Performance Institute, ça c'était à Londres à The Oval. Le Oval c'est comme le stade

centrale en Angleterre pour le cricket. C'est comme le plus gros stade de cricket là-bas que je ne connaissais pas avant d'y aller. Ça, c'était vraiment plus une conférence de sport professionnel, si je peux m'expliquer comme ça. Puis le vendredi, c'était une journée plus relaxe parce que là, je savais que je revenais le samedi, puis là, allait y de l'action à la maison. Le vendredi, c'est relaxe. Un gros, une journée de plaisir, trois jours universitaires, deux jours vraiment sport professionnel, puis une journée de tout décanter tout ça, puis m'assurer de résumer un peu le voyage et puis d'entretenir mes contacts.

speaker-1 (05:59.822)

Ouais, de... surtout de vivre, Moi, personnellement, c'est sûr que j'aimerais ça. Ça serait un rêve de vivre l'ambiance d'une partie de soccer en Europe. Ça doit être quand même excitant de voir l'ambiance là-bas.

Oui, tout à fait. Je trouve que c'était vraiment une expérience qui est moins commerciale que l'expérience que tu peux avoir de la Ligne nationale de hockey ou bien même de la NFL, puis même la CFL. C'est-à-dire que tu arrives à Old Trafford, qui est un stade qui date de la Deuxième Guerre mondiale. Old Trafford, c'est le nom du stade de Manchester United, qui date à peu près juste... Il a été bâti, je pense, juste après la Deuxième Guerre mondiale ou rénové après. Puis tu tu rentres là...

Puis t'as peut-être l'espace de juste mes épaules pour rentrer dans le stade tellement que la gait est petite. Mais après ça, dans le stade, t'as plein de bannières de comme groupes de rassemblements. Puis t'as un tableau électronique si on veut. Et tout ce que t'as sur le tableau électronique, c'est les noms des vieux équipes pis le pointage. Comme t'as pas de nombre de tirs au but, t'as pas de panneaux publicitaires interactifs, t'as rien de ça. Pis je trouvais ça quand même le fun.

Parce que c'était seulement l'expérience sportive de haut niveau. T'avais pas vraiment de fla-flas. C'était comme 45 minutes de soccer, pause, 45 minutes de soccer. C'était ça. Ouais vraiment. Je trouvais ça aussi particulier voir la section de l'équipe visiteurs, donc des fans de l'opposition. C'est-à-dire que t'avais comme une section du Lower Bowl qui était réservée aux fans de Lottentown. Puis t'avais une police par étage.

dans le moment présent.

speaker-0 (07:32.289)

par marche d'escalier. C'était quand même impressionnant. Et les fans de Lottentown n'ont pas arrêté de chanter du début à la fin du match. Ça, trouvais que, en Amérique du Nord, on fait bien des bonnes choses, mais des fois, trouve qu'on est plates quand on regarde le sport. Tu t'en vas à l'Arena des sénateurs d'Ottawa, tu t'en vas au Grand Prix du Canada, et là, t'as la personne qui est responsable de placer. comme, assis-toi, les gens ont payé, faut qu'ils voient en arrière. suis comme, est-ce tu penses que les gens aux Pays-Bas, quand ils vont voir le Grand Prix de Formule 1 des Netherlands, tu penses-tu qu'ils sont assis?

Non, il a de la grosse musique électro, il danse, sonne de boue, il sort les fumigènes oranges, puis tout ça. Puis je pense qu'on devrait apprendre un peu sans aller dans le hooliganisme. Ça, c'est un sujet pour une autre conversation. Je pense qu'on devrait quand même apprendre de la partisannerie européenne pour le sport.

Oui, et c'est ça. Tu vois une partie pour l'ambiance, sinon reste chez toi et écoute la partie confortable dans ton sofa. Je pense que oui, on peut prendre exemple là-dessus certainement. Mais là, je voulais juste savoir, c'est quoi les présentations marquantes là-bas?

Moi, je trouve que les présentations marquantes, en fait, l'événement marquant, ça a vraiment été de Sport Performance Summit, où est-ce que j'ai adoré mes conversations à Leeds-Bucket University, où est-ce que je pouvais vraiment échanger avec des personnes qui ont réfléchi puis recherché des domaines intéressants. Mais d'aller au Sport Performance Summit, ça a été vraiment un élément, si je fais un lien avec le podcast sur l'innovation avec Laurent Simon, si je me trompe pas, l'épisode 106, c'était vraiment...

plein de personnes qui sont dans le plus haut niveau, puis qui partagent leurs différentes idées. Puis... Donc ta question, c'est vraiment les présentations. Au niveau des présentations, pour moi, il a eu la présentation de l'entraîneur-chef des Brisbane Lions, qui est une équipe de football australien de l'Australie. Et puis, pour vous mettre en contexte, tu c'est une équipe qui a à peu près 30 000 personnes à chacun des matchs, et la finale, a 100 000 personnes. Fait que je te dirais que durant la saison, tu as des gros comme les Elouettes de Montréal, les Red Blacks.

speaker-0 (09:30.542)

d'Ottawa, mais durant les finales, ça prend un envergueux complètement. parler de la culture de haute performance, puis aussi quand tu un entraîneur-chef. Deux autres présentations qui m'ont marqué, vraiment, celle-là sur les Centennials. Les Centennials, c'est les organisations centenaires à succès. C'est quoi les principes qui soutenent des organisations comme la NASA, le Royal Academy of Music, les All Black, British Cycling, des organisations qui, à travers le temps, ont du succès? Parce qu'on regarde des principes d'organisations qui réussissent.

mais des fois, c'est pas à travers des décennies puis même des centenaires, ça c'était bien. Et une autre qui a quand même clashé avec ce que je connais, c'est le titre de coaching live, How the Royal Academy of Dramatic Art Coach and Develop Talent. En bout de ligne, c'est une des académies les plus prestigieuses au monde en termes d'art dramatique, si c'est ça la traduction, où est-ce qu'il 28 personnes qui sont acceptées par année pour la voix qui est dédiée à être acteur ou actrice. Ça c'était quand même particulier aussi de voir comment est-ce que c'est différent.

Et je te dirais que ces trois présentations-là ont vraiment été marquantes, mais la valeur d'un événement comme ça, puis d'une visite d'études selon moi, c'est vraiment les conversations que tu as avec les gens qui sont autour des tables. Si je peux me permettre encore une fois, pour moi, juste une conversation marquante, j'arrive, première conversation autour d'une table après la première présentation, je me sois avec une personne, puis là je vais pas aller dans le détail parce que quand c'est des conversations privées,

pas mettre ces conversations-là privées, puis la personne exécutée, qui ce serait faire sa place publique. Mais bref, c'est une personne qui est un directeur d'une équipe importante de la Premier League. Ça fait quand même du gros calibre. Team Jaws, en ce moment, ils ont de la misère à l'intégration du feedback des joueurs dans leur planification de la performance, mais de l'autre côté, ils sont en de faire un doctorat sur la valeur des déplacements des joueurs au soccer. Vous voulez en dire que...

on assume qu'un athlète qui fait 10 km de déplacement au soccer ou au hockey qui traverse plus de... mettre sa glace, c'est plus valable qu'un athlète qui marche ou qui coaste. Mais quand tu regardes Lionel Messi, Lionel Messi est renommé pour être un des plus grands marchands sur un terrain de soccer. On s'entend à Lionel Messi quand il un bon joueur de soccer. Très bien réputé. Très bien réputé et qui a debarqué des buts. Et lui, ce qu'il est en train de faire, c'est de dire comment est-ce qu'on peut...

speaker-0 (11:49.102)

En fait, la valeur de déplacement n'est pas en fonction de la longueur du déplacement, c'est en fonction de la distance par rapport à tes adversaires. Ça veut dire que si tu marches, puis que, à cause de la dynamique du jeu en ce moment, les autres tes adversaires s'éloignent, ça, ça a beaucoup plus de valeur que si tu cours au fond, puis qu'en bout de ligne, tu rentres dans trois défenseurs. Fait que là, de pousser l'analyse jusqu'à ce point-là, comme ça, c'est vraiment intéressant. là, je sais que toi, t'étais un gars de hockey, je traite des couches de basket, de rugby, il a plein de parallèles à faire avec n'importe quel autre sport d'invasion.

Ben c'est ça, d'avoir un différent background, différents coachs, différents sports, pense que ça que c'est intéressant d'aller chercher les points forts, les points faibles de chacun, de peut-être l'apporter à ton propre sport aussi.

Oui, bien c'est ça, puis il y a des parallèles à faire entre les sports. Ça, c'est une des affaires que je pense que les gens sous-estiment. Où est-ce qu'il faut prendre le temps d'aller voir d'autres sports? Comme au Canada, les coaches de hockey parlent à des coaches de hockey. Au États-Unis, les coaches de football parlent à des coaches de football. Mais je pense qu'il y aurait beaucoup à gagner à faire plus d'échanges à gauche et à droite parce que c'est juste cette idée-là de valoriser les déplacements, non en fonction de la longueur du déplacement, mais plutôt la distance avec les adversaires.

Je pense que les couches hockey auraient bénéficierait de ça, que ce soit sur l'avantage numérique ou même l'entrée de zone, ou une fois que tu es installé dans la zone.

Oui absolument.

speaker-0 (13:06.4)

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Oui, je trouve ça intéressant parce que souvent, comme tu dis, on est tellement focusé sur notre sport qu'on ne devrait pas juste apprendre sur, exemple, faire une pause, faire un one-timer, comment ça fonctionne, mais aussi à l'extérieur, de regarder plus loin ce que tu fais à l'extérieur de la chambre, peut-être de voir avec d'autres coaches différents sports, un coach de soccer, qu'est-ce que lui fait avec ses coéquipiers pour chercher une certaine cohésion d'équipe, puis d'autres choses de même. Parmi toutes les présentations, y en avait une en particulier qui était plus destinée aux entraîneurs.

Oui, vraiment celle-là des Brisbane Lions, c'était la go-to. C'est l'entraîneur chef de l'équipe des Brisbane Lions qui a partagé pendant à peu près une demi-heure ce que lui fait. Puis ce qui est plus intéressant là-dessus, c'est que moi, je m'assois, je suis assis. Puis juste après sa présentation, comme... il arrive, il s'assoit à côté de moi, puis là, il commence à me jaser ça. Puis là, il est comme, « Hey, tu as vu ma présentation? » « Ben oui, je vais pas dire non, là. » Fait que oui, je l'ai comme... Fait que là, je l'ai comme, sa présentation, puis tout ça. Fait que celle-là, c'était vraiment la...

speaker-0 (15:24.694)

la plus intéressante et la plus pratique à mes yeux.

Il y gens qui viennent à côté de et ils demandent comment tu aimes ça.

Peut-être, je te dirais que ça l'est plus vraiment. que, dépendamment des différentes personnes à qui j'ai parlé dans le passé, suis comme, les gens des fois ont des gros titres, puis ça, les gens qui sont super intéressants, puis il des gens qui sont super pas intéressants aussi. Fait que je te dirais que lui était super intéressant, puis moi je le recommande à tout le monde qui est un australiste, si as la chance d'aller y parler, allez y parler, tu sais. Mais ouais, c'était pas tant intimidant, c'était juste intéressant de pouvoir parler à la personne en fait qui avait présenté en avant.

Puis pour la présentation de Brisbane Lines, qu'est-ce qui ressort de ça?

Ce qui ressemble pour moi, c'est vraiment l'importance de définir ta culture d'équipe et surtout de la relier à des éléments concrets. Puis là, si je peux remettre un peu les choses en contexte, la raison pour laquelle cette personne était là, clairement, c'est parce qu'elle a été vêtée avant et elle a fait un bon travail. Puis pour mettre les gens en contexte, a pris l'équipe, cet entraîneur-là, qui s'appelait Chris Hagen, a pris l'équipe en 2016, dans le fond, l'entraîneur avant a été congédié, il lui pris l'équipe en 2017.

speaker-0 (16:33.338)

En 2016, l'équipe avait deux victoires, était 17e au classement sur 18. Pas très bon. Puis, jusqu'à l'année passée, ils ont terminé avec 19 victoires, ils ont fini deuxième au classement, puis ont perdu la grande finale par 4 points. Ça clairement qu'il y eu un changement. Et puis, dans les cinq dernières années, ils ont terminé à trois reprises au deuxième rang. C'est comme la deuxième meilleure équipe dans les cinq dernières années. Ça, moi, ce qui est particulièrement intéressant, c'est que là, tu as des preuves qui ont bâti une culture durable.

puis en fait, qui partait probablement dans un contexte qui n'était pas favorable. Et dans les différentes choses qui ressortissent, la première qui m'a frappé à mes yeux, c'est qu'il commence la présentation et il dit « Moi, mon rôle, c'est d'être un Chief Energy and Psychological Safety Officer, donc être le chef de l'énergie et de la sécurité psychologique. » Puis, je suis comme « Hey, ça, c'est intéressant parce que, est-ce tu te rappelles d'un clip ou est-ce que tu as déjà vu le clip de Gino Auriemma, l'entraîneur-chef de Yukon sur YouTube ? »

Ça te dit rien? OK. L'entraîneur-chef de UConn, était une légende dans le niveau du basketball féminin universitaire, bien lui, il m'a dit, dans le clip, ça circule dans les entraîneurs, puis y a plein d'entraîneurs qui adoptent ça. Il dit, «I don't coach effort. Je coach pas l'effort, je coach pas l'énergie. Puis c'est comme si tu étais électoré pour venir ici.» Mais là, tu le gars de l'autre côté, Chris Higuin, qui dit «Moi, ma job, c'est de gérer l'énergie, puis la sécurité, puis le psychologie.» Ça, ça a été le premier moment de dissonance, si on veut, de cette conférence. C'est l'un des plus gros moments de dissonance parce que...

Ça clash un peu avec une de mes croyances, puis une des croyances de certains de mes entraîneurs. Mais je pense honnêtement, j'aurais tendance à pencher en fait après réflexion sur le côté de Chris Hagen, dire que l'entraîneur-chef doit gérer l'énergie et doit orchestrer la sécurité psychologique. Pas en train de dire que tu dois être la cheerleader numéro un. Pour celui qui suivi de la NFL, t'as pas besoin d'être Matt Lafleur, puis d'applaudir, puis demander à la foule de cheerer. C'est pas ce qu'on dit.

pense que ton rôle, c'est de gérer l'énergie de tes athlètes, autant l'énergie physique, t'assoyez qu'ils ont la récupération adéquate, l'énergie psychologique, et d'adapter tes entraînements en conséquence et ou de modifier tes interventions au niveau de la motivation en conséquence. Et ensuite de ça, de créer le climat psychologique qui va permettre aux gens d'être dans une optique d'apprentissage. Puis c'est ça qu'il nous dit, il nous dit en bouline Chris Hagen, dans les choses quand je parlais tout à l'heure, de dire que...

speaker-0 (18:57.132)

il y avait un lien concret, tous ces éléments de sa culture étaient clairement définis et il y avait une activité concrète. Je me rappelle que, ils parlent de faire des groupes d'apprentissage avec ses joueurs, y a des activités semi-dirigées avec ses joueurs au niveau de l'apprentissage, ils leur apprennent des principes d'apprentissage également, c'est vraiment une de ses valeurs centrales. Mais pour pouvoir apprendre collectivement, il faut que tu sois capable d'être vulnérable.

Et puis pour être capable d'être vulnérable, comme Daniel Fortin-Gichard nous l'a très bien expliqué dans l'épisode 81, si je ne m'abuse, il faut que tu aies un climat de sécurité psychologique. Ça après ça, tu décantes ça, j'aurais tendance à croire, particulièrement en 2023, que ce que Chris Hagen nous a partagé d'être le Chief Energy and Psychological Safety Officer, je que c'est vraiment, vraiment la... Je pense que c'est quand même le rôle clé d'un entraîneur-chef d'un gros programme.

Oui, puis je pense que souvent on oublie que derrière l'athlète, il une personne, puis qu'on ne pas juste demander de le pousser, de le pousser, de le pousser. Il quand même lui offrir un environnement qui est sécuritaire, où il va être à l'aise d'aller voir le coach et dire «Hey, je suis fatigué, comme, «do one break».» Fait que d'avoir cette perspective-là pour un entraîneur de très haut niveau, mais je pense que c'est intéressant pour les coaches comme moi, les coaches comme, avec les entraîneurs,

avec qui j'ai coaché les entraîneurs de soccer de la région, pense que ça peut être intéressant de prendre cette mentalité-là et de l'apporter avec eux dans leur club.

Tu parlais des clums en ce moment, une des autres choses qu'il a fait, qui est particulière, quand il a pris le poste en 2016-2017, il a interviewé toutes les personnes qui étaient officiellement listées faisant partie des opérations football de l'équipe. Combien, mettons, je ne pas combien d'organisations font ça, mais tu arrives et puis OK, qu'est-ce qui est bon par rapport à ce qu'on fait, qu'est-ce qui pas bon par rapport ce qu'on fait, puis comment est-ce qu'on devrait améliorer les choses? Littéralement, aller voir chacune des personnes.

speaker-0 (20:52.59)

qui fait partie des opérations football de ton programme, dans ce cas-là, football australien. Je pense que ça démontre quand même de l'ouverture aussi. Fait que jusqu'à un certain point, comme c'est de clé, un clément d'apprentissage, mais de l'autre côté, c'est qu'il y a aussi un peu comme je au départ, tu sais, prêcher pour sa paroisse, où est-ce qu'il a modélisé un peu ce que lui voulait avoir. en fait, il disait, c'est une des choses qui est ressortie dans sa présentation également, de dire que si tu veux que quelque chose se passe, bien tu dois le faire en tant que tel en premier, puis après ça, tu peux comme...

le demander à tes acclètes ou à ton staff.

On a créé une culture gagnante au final. Vraiment, s'est impliqué tout le monde, pas juste des athlètes, mais vraiment tout l'entourage de l'organisation. pense que c'est un point qui vraiment intéressant. Mais là, par rapport à la présentation, Brisbane Lions, High Performance Culture, que ça mange à l'hiver ça?

Qu'est-ce que ça en hiver? Ben, lui a défini la culture de haute performance qui étant un endroit où les gens sont motivés à s'améliorer et à relever des défis quotidiennement. Puis grâce à ça, là les gens vont atteindre la satisfaction, le plaisir et le succès. Ça veut dire qu'il met l'accent numéro un sur la motivation. Puis moi ça me fait penser à un de entraîneurs que je trouve le plus fascinant, tu avec qui je travaille en coaching. Puis il me dit tout le temps, tout commence par la motivation. Si le jeune ou la jeune n'est pas motivé de se pointer,

J'ai bien beau avoir le meilleur programme, le meilleur set d'exercices, le dril le plus créatif à ça sert à quoi. Puis je pense que la façon, la définition, c'est une traduction au libre, mais c'est littéralement la définition de Chris Hagen de la culture, c'est un endroit où les gens sont motivés à s'améliorer. Fait que motivation, puis apprentissage. Apprentissage pour moi, c'est la façon dont tu identifies les choses, puis qui va t'amener à t'améliorer. Puis que tu as le goût de relever des défis. Fait que pour ça, pour avoir le goût de relever des défis, il aussi tu aies le willpower, la volonté.

speaker-0 (22:37.934)

Pour avoir la volonté, aussi que aies l'énergie. Fait que jusqu'à un certain point, sais, tout est vraiment interrelié. Puis ce qui était aussi fascinant de cette présentation-là, c'est qu'il a vraiment pris le temps de décortiquer sa culture avec le terme, puis dix éléments. Puis là, chaque élément, y avait comme une petite flèche qui le rejoignait. Puis après ça, c'est OK, qu'est-ce que je fais par rapport à chacun de ces éléments-là, comme je mentionnais tantôt par rapport à l'apprentissage ou le shared ownership ou des choses comme... Une des choses qu'il a faites aussi, c'est écrire un groupe WhatsApp.

Et les athlètes, le groupe s'appelle Moments of Greatness. Dans ce groupe-là, les athlètes doivent partager ou quand ils sentent, ils doivent partager un élément, « Hey, ça a été vraiment nice qu'on fasse ça en équipe. Puis il un exemple là-dedans, c'est qu'il a un athlète blessé qui a fait 8 heures de route pour amener les parents d'un joueur qui participait à sa première finale à la finale.

Pour différentes raisons, c'était problématique. Il pouvait pas avoir de transport. Le transport était un peu carotique pour aller à la finale. Je me rappelle pas des détails exacts. Mais tout ce que je me rappelle, c'est que dans un acclét, il était allé littéralement, il était blessé, n'y avait rien d'autre à faire. s'est dit, moi, je vais aller prendre les parents de tel joueur, je vais aller chercher, je vais les ramener au stade. Je pense que les parents avaient des problèmes de santé qui les empêchaient de prendre un vol parce qu'en Australie, les villes sont quand même loin de l'autre. Et ça, j'étais comme, c'est cool, mais de créer juste un petit groupe où le but, c'est littéralement moments of greatness.

puis c'est des personnes ex... Moi, je fais une action noble, si on veut, ben c'est toi qui vas l'écrire dans le groupe, tu Ça, ça amène aussi un cercle virtuel où est-ce que, hey, ça en fait des bonnes choses, Frank en fait des bonnes choses, Joannie en fait des bonnes choses, Valérie en fait des bonnes choses, tu sais. Ça, c'était quand même pas mal intéressant aussi comme partage.

Non, je trouve ça intéressant. juste de reconnaître. Je pense que juste de reconnaître que ce que tes coéquipiers font de bien. Je trouve que parfois, en tant qu'athlète, puis je parle aussi de mon expérience personnelle, je trop souvent, je pense qu'on est concentrés sur nous-mêmes. Puis ça, peut causer des conflits, de la jalousie au sein de ton équipe. Puis de juste, en tant qu'entraîneur, de juste dire « Hey, on veut montrer les bonnes actions de nos coéquipiers. On veut promouvoir ça pour que...

speaker-1 (24:51.487)

Au final, y a beaucoup de positifs, puis quelqu'un veut aller à la pratique, puis ils veulent travailler pour la personne à côté d'elle.

C'est un très bon point parce que t'amènes en fait l'aclette à voir plus loin que sa petite personne. Parce que pour écrire dans le groupe, il faut que t'ailles observer dans les dernières semaines qu'est-ce qui se passe autour de toi. Ça l'amène surtout dans un sport d'équipe. C'est une action anodine qui amène l'altruisme à prendre davantage de place dans ton équipe.

Hmm.

speaker-1 (25:19.598)

Oui, vraiment. J'aimerais vraiment parler du Centennial's Lessons in Sustaining Success for Over 100 Years.

Ça c'est une présentation quand même particulière. Dans le fond, c'est le professeur Alex Hill qui est un peu consultant dans le fond en Europe. Lui et son équipe, ont conduit une étude de sept ans qui portait sur les organisations avec succès tels que les All Blacks de la Nouvelle-Zélande, British Cycling, la NASA, le Royal Academy of Music, puis d'autres. Et le but c'était de dégager les tendances fascinantes qui ressortaient de tout ça.

En gros, le principe numéro un, il y en a plusieurs, en a 12, je n'ai pas lu le livre, il n'a pas parlé nécessairement des 12 durant la présentation, mais il est arrivé et il commence et il nous dit, les organisations centenaires à succès, ont des grands-parents et des adolescents, et les deux ont un rôle important dans l'organisation. Tu es comme, qu'est-ce que tu veux dire par des grands-parents et des adolescents? Il tu as des grands-parents qui comprennent clairement la mission, qui savent pourquoi on est là et qui sont responsables de la famille.

Fait que c'est le noyau. Ils sont responsables dans le sens qu'ils prennent charge de la famille. La famille ici dans ce cas-là, c'est l'organisation. Ils sont ouverts au fait qu'il ait d'autres monde qui fasse partie de la famille. Des gens libres, puis du monde à gauche, à droite. Mais t'as aussi des adolescents. Là, t'es comme, OK, bien les grands-parents, sert à tenir le fort en place pendant peut-être 100 ans. Mais les adolescents, ça vient brosser à cage. Mais ce qui est important de ça, c'est c'est important d'avoir des adolescents dans ta famille parce que ça va venir brosser à cage.

Et puis, ça va t'aider à tectualiser. Ça va t'aider à rester à jour, à t'assurer que tu comprends c'est quoi TikTok, et que tu parles plus comme René Dal et Marc Gassé dans l'épisode 105. dis «Moi j'appelle ça encore Twitter alors que c'est X». Ben c'est important que tu aies des allers-les-seigneurs qui «Non, non, parlez, arrête, c'est X».

speaker-1 (27:12.783)

Moi aussi j'ai fait ça encore Twitter, je suis pas encore habitué,

Ça va être un quand même. Le point avec ça, c'est de dire non, tu as besoin justement d'avoir des adolescents qui vont brasser la cage. Là, tu me dis, qu'est-ce ça veut dire pour une organisation? tu as besoin d'au moins 20 % de ton organisation, de ton coaching staff qui est quand même constant à travers les années, qui prend responsabilité de la culture, qui démontre de l'ouverture, puis qui veut s'améliorer, puis qui a clairement une raison d'être. Ça, c'est les éléments clés du noyau. Mais après ça,

il faut que tu t'assures de t'entourer d'adolescents et dans ce cas-ci, eux, c'est des experts, des experts existants. Puis moi, j'ai trouvé ça intéressant. Puis là, c'est centré sur moi-même, mais de dire, c'est ça le rôle que je joue avec les organisations. Parce que j'étais dans une rencontre hier, comme moi, tu les gens, me payent, puis je suis très bien payé pour ce que je fais, mais je comme, ils payent pas pour que je leur dise ce qu'ils veulent entendre, ils payent pour leur dire des affaires qu'ils veulent pas entendre, ou que je leur dise ce que je pense vraiment. Puis c'est ça un peu le rôle que je joue. Puis je pense que davantage d'organisations...

même de coaching staff, auraient intérêt à s'assurer de s'entourer d'experts qui sont les adolescents qui vont venir challenger les façons dont on fait les choses. Puis oui, peut-être que 50 % des recommandations de ton petit adolescent qui dit juste ce qu'il pense puis qui n'a pas de filtre, tu vas peut-être pas les prendre. Puis c'est correct. Mais c'est important d'y avoir ces personnes-là parce que si tu les as pas puis que tu restes juste dans ton noyau, ton évolution à travers le temps, tu resteras plus actualisé et tu seras plus en train d'innover. Et ça, c'est...

deux éléments qui sont très problématiques si tu cherches à avoir du succès de façon durable. Puis là, ça m'a amené... J'avais pas réalisé ça avant qu'on se parle aujourd'hui, mais tu sais, je me demande si c'est un peu pas ça le problème des Patriotes de la Nouvelle-Angleterre dans les cinq dernières années. Où est-ce qu'ils ont eu beaucoup de succès? Mais tu sais, est-ce que le noyau, en perdant Tom Brady, en perdant plusieurs entraîneurs-clés, est-ce que le noyau de à peu près 20 % du coaching staff des Patriotes de la Nouvelle-Angleterre est rendu trop petit? Parce que c'est qui en ce moment?

speaker-0 (29:10.158)

c'est Bill Belichick, mais là, Nick Cesario, était comme le GM, rendu avec les Texans de Houston, Josh McDaniels est parti coacher les CFA de congédiens, il va peut-être revenir, Matt Patricia est ailleurs. Donc, peut-être que le noyau est rendu trop petit. Ça, c'est ce que je me demande. Mais dans le cas des patriotes, c'est ça. Puis, il aussi l'analyste que personne ne parle jamais, qui est plus là. Mais après ça, que tu t'entoures d'experts? Puis, d'autres éléments qui sont sortis de cette présentation-là, c'est que, OK, tu t'entoures-tu d'experts? Mais comment est-ce que tu...

Merci.

speaker-0 (29:39.305)

orchestre des accidents. Là, on est en train de dire de prendre votre tour et de faire un crash. Ce qu'on est en train de dire, c'est comment est-ce que tu expérimentes en bout de ligne? Toutes ces organisations-là vont prendre de dire, On va se planter, puis c'est correct. On va se planter, puis on va apprendre de ça. On va se planter, parce qu'on sait que c'est correct, on va apprendre de ça, mais on va réussir à s'améliorer. Ça, je pense que ça fait un lien avec les travaux qu'on a faits. Quand on parle de l'innovation, pour être un innovateur, il que expérimentes.

Puis ça, moi, ça a été vraiment ça. Puis là, je ne peux pas attendre de lire le livre. Je ne pas si ça va être une priorité à court terme, mais à moyen terme, c'est sûr que je vais investir du temps là-dedans parce que je pense que c'est une chose d'avoir du succès, mais d'avoir du succès de façon durable, c'est vraiment une autre affaire.

Oui, vraiment. J'aimais que c'était correct d'échouer. C'est correct d'apprendre. Moi, j'appelle ça l'avant-titage. Cette semaine, j'ai coaché un jeune qui était tout déçu qu'il n'avait pas fait une des équipes. Lui, il pensait que c'était fini. Le jeune, il a 11 ans. Il a 11 ans. Je posais la question, comment tu te sens? Il se sent pas bien. Qu'est-ce tu aurais pu faire de différent? C'est juste de poser ce que tu aurais pu apporter de plus.

Tu le fais réfléchir, « Ah, mais là, je ne l'ai pas fait à cause... » Hé, t'as 11 ans, t'as le temps de t'améliorer, de travailler sur tes faiblesses, puis de renforcer tes forces. Puis, tu ça n'applique pas juste non plus pour les organisations, c'est vraiment aussi pour les athlètes d'innover, puis de s'améliorer à chaque jour.

vraiment, je pense que cette personne-là tout intérêt à avoir cette mentalité-là et dire que c'est pas fini aussi et qu'un accident en cours de route, ben je veux dire, ça peut être un tremplin en rouline pour ta carrière.

speaker-1 (31:22.016)

Absolument. Avec tous ces beaux mondes, si j'imagine les discussions étaient sûrement riches, t'as-tu d'autres fessailants qui ont ressorti?

Encore une fois, comme je l'ai dit tout à l'heure, je ne pas aller dans les détails de ces qui, les conversations, mais moi, y en une qui été marquante. Un peu, quand je te disais tantôt qu'il a des personnes intéressantes, d'autres moins intéressantes, ce n'est pas tant par leur poste, c'est aussi de l'approche qu'ils Des fois, tu parles à des gens qui sont vraiment dans du haut niveau, puis comment est-ce qu'ils sont humbles, puis qu'ils sont juste ouverts à partager, puis vraiment co-crés. Ça, moi, ça a été vraiment des rencontres intéressantes.

Et puis y en une de ces rencontres-là que j'étais assis avec une personne en bout de ligne qui est directeur du bien-être et de la performance dans une écurerie de pointe en Formule 1. Ça c'était quand même super intéressant. C'est différent aussi là. Oui, c'est vraiment différent. Et moi j'ai pour mon dire que la Formule 1, c'est vraiment le summum de la haute performance parce qu'il a pas aucune haute ligue où il a autant d'attention au détail pour des gains aussi minimes. Tout le détail qui va derrière une amélioration de 10 000e de seconde pour améliorer l'auto.

Et puis ça, vraiment une écurité prominente. On va dire dans le top 5, je me sens confortable de dire ça. Et puis, sais, ils parlaient de la place du bien-être dans l'organisation. Puis, dire que pour eux, le bien-être et la performance, ben un, va ensemble parce que tu veux performer à travers la saison, mais qu'ils divisent en trois aspects. Donc, t'as l'aspect de... la préparation physique. Et ça, c'est pas juste la préparation physique des pilotes, là. C'est les pilotes, les ingénieurs, les mécanos, tout le monde est là-dedans. Puis tout le monde, prennent en charge cet aspect-là. Fait que, préparation physique...

tu as la préparation mentale, puis tu as la récupération. Fait que tu as physique mentale, récupération. À l'intérieur du physique, tu as clairement l'entraînement pour s'assurer que le corps, mais tu as la mobilité aussi, donc ils regardent un peu la préhabilitation. Au niveau mental, ils regardent le happiness, donc la joie, à quel point les gens sont heureux, puis après ça, ils regardent leurs aspects de leur habileté mentale. Puis au niveau de la récupération, ils vont s'assurer de passer du temps à monitorer, à coacher, à éduquer leur monde sur la...

speaker-0 (33:24.533)

l'hydratation, j'ai le modèle en anglais, c'est pour ça que j'ai dit, mais l'hydratation et la nutrition, et aussi la récupération et le repos, puis tous ces éléments-là ensemble. Puis pourquoi je dis que c'était une conversation super intéressante, c'est que là, il me présente son modèle, puis ça, j'encourage toutes les personnes qui vont à des conférences, peu importe votre titre, je sais qu'il en a qui écoutent le podcast, qui ont des grandes responsabilités, soyez un et co-créé avec n'importe qui. Cette personne-là, va faire comme, qu'est-ce que tu as m'apprendre, toi le petit francophone de Saint-Jean-de-Bos, il n'y a aucune des Saint-Jean-de-Bos, mais tu

Là, j'ai commencé à partir et puis là, j'ai dit, OK, mais t'as-tu intérêt, ça serait-tu une bonne idée, tu penses, pour visualiser un peu ce que tu fais, de réorganiser tes trois aspects de cette façon-là? Puis là, j'étais comme, hey, c'est intéressant ça. Puis d'où est-ce que tu sors ça? Puis là, j'ai parlé des travaux qui ont été faits sur les Serial Winning Coaches, les entraîneurs couronnés de succès, puis comment est-ce que moi, je le présente. Puis j'étais comme, hey, c'est une meilleure façon de le présenter, comme ça te dérange si je pars avec ça. J'étais comme, ben non, moi, ça te dérange si je pars avec ton modèle, tu Fait que je suis parti avec son modèle aussi, tu sais. Fait que ça, c'est du win-

la personne était vraiment ouverte. C'est sûr que quand t'es directeur, la performance est du bien-être, m'attends pas à que tu sois quand même une bonne personne, à ce que ça veut dire être une bonne personne. Mais ce je trouvais intéressant, c'est qu'il parlait du happiness. Comment est-ce que c'est un élément important? Et ce qui est ironique là-dedans, c'est qu'il une des autres conversations, la première conversation que j'ai eue avec une personne qui est dans un poste de direction d'une équipe.

de la Premier League. Encore une fois, je veux dire une équipe dans le top 10 en ce moment de la Premier League, une bonne franchise. disent qu'après chacune des séances d'entraînement, ils vont demander à leurs athlètes de dire, c'est quoi ton niveau de compréhension sur la séance? Après ça, à quel point la séance est intense? Et à quel point est-ce que tu as apprécié la séance? Mais apprécié dans sens de l'enjoyment, tu as eu du fun pendant la séance. T'es au plus haut niveau, T'es au plus haut niveau dans deux. Le soccer, très compétitif. Formule 1, très compétitif.

le fait que les personnes apprécient ce qu'ils font, c'est quelque chose qu'ils monitorent de façon quotidienne. C'est fou, là! C'est fou! Nous autres, après ça, pour des athlètes de 15 ans, s'ils veulent pas être ici, ils ont juste à aller faire un autre club. suis comme, de quoi tu parles? Un athlète universitaire? Non, s'il veut pas être là, je vais pas aller jouer ailleurs.

speaker-1 (35:34.766)

C'est tellement une différente mentalité. C'est là où juste de laisser la chance aux athlètes de s'exprimer, ça n'en dit gros sur l'environnement. Tu rentres là, tu dois tellement te sentir à l'aise, contrairement à une place où tu vas en avoir des mauvaises journées. Tout le monde a des mauvaises journées. Je me rappelle, je vois des athlètes de des joueurs qui sont fâchés des journées. Mais c'est pas juste de dire Hey, le jeune a une mauvaise attitude. » Non. Essaye de comprendre pourquoi il est fâché.

Puis, c'est là où on étiquette trop rapidement, je trouve, surtout dans le hockey de haut niveau, les sports de haut niveau, même dans le sport en général. Parfois, on étiquette un petit peu trop rapidement les comportements, mais c'est de comprendre est-ce que je peux t'aider, comment je peux t'aider pour que tu te sens plus à l'aise, plus confortable quand tu rentres ici.

Oui, puis en boule ligne, qu'il soit fâché une journée, c'est bien correct, ça veut dire qu'il a une mauvaise attitude, dépendamment de la motivation, peut-être qu'il n'a juste pas les habiletés pour gérer sa colère. Puis après ça, ce que les deux personnes aussi mentionnaient, puis je m'assurais de mentionner à tout le monde, c'est-à-dire, c'est pas qu'il devrait tout le temps être heureux, puis tout le temps avoir un 5 sur 5, on s'entend qu'on sait que dans le sport de haut niveau, il a des hauts des bas. Mais en boule ligne, c'est une donnée importante à suivre, aussi simple soit-il. C'est-à-dire, si une équipe proéminente...

dans la Premier League, a juste trois questions après ses séances. Je veux dire, a bien des équipes qui sont capables de faire ça. On a trois questions de même sur une échelle de cinq après la séance. Mais tu dis, OK, s'il y a une chute trop significative, est-ce que après ça, nous, on devrait aller consulter, on devrait aller voir la personne, qu'est-ce qu'on fait? Ça fait que c'est un point qui te permet de dire, hey, c'est peut-être le temps d'intervenir. Ça, pour moi, ces deux conversations-là, je vais les amener avec moi. Il y en a eu d'autres conversations un peu plus arrosées. Puis ça, puis, tu sais, c'est intéressant comment est-ce que tu peux joindre le plaisir, puis le...

Tu te travailles là-dedans parce que t'as plein de gens qui sont passionnés, genre, c'est pas le performance, mais en même temps, hey, on dans un autre pays, comme, on prend une bière, comme, let's go, tu

speaker-1 (37:23.982)

Oui, vraiment. J'aimerais que l'on fasse un petit survol sur une présentation, Making Learning a Competitive Advantage par The Football Association.

Donc le Football Association, la fédération qui régit le football, le soccer anglais. C'est quand même quelque chose, c'est quand même une des plus grosses fédérations sportives au monde. C'est intéressant, oui et non. Non parce que le format de présentation, c'était beaucoup... j'avais l'impression que je me faisais donner une leçon. Puis ça, moi, quand tu parles à des gens qui sont un peu dans les mêmes chaises que toi, c'est comme non, on a une conversation, puis comme je vous partage un peu ma perspective, puis si ça vous...

allume, tant mieux. Le format n'était pas idéal, mais il y avait plusieurs des commentaires qui étaient faits au rôle central de l'apprentissage pour la Football Association. Comment est-ce qu'il ce genre de clé? Puis cette présentation-là, à mon réalité, confirmait qu'on est sur la bonne voie, puis que l'apprentissage devrait être central, puis qu'il faut faire du temps pour ça. Il faut mettre des stratégies en place pour...

bâtir un héritage. Puis quand je dis faire du temps pour ça, ça peut être vague, mais en boule ligne, ça veut dire, OK, on a eu un trois mois d'entraînement, qu'est-ce qu'on a appris de ça? Puis de s'assurer de le documenter puis de l'archiver à quelque part. Une de tes professeurs à l'Université d'Ottawa, Milena Parand, à travail sur le knowledge management ou knowledge sharing, elle a fait beaucoup de recherches par rapport à ça. Puis, tu sais, c'est une des choses que les organisations ont, puis les coaches sont pas très bons à faire. On a fait des apprentissages, on a fait des réalisations dans les derniers trois mois, comment est-ce qu'on le documente puis on l'archive pour s'assurer d'être capable de l'utiliser puis de le ramener?

Parce que tu tout à l'heure, j'écoutais un podcast en m'en venant, que j'ai produit, parce que des fois, j'aime ça m'écouter pour être autocritique, je regardais un peu des éléments que je devrais améliorer. Puis je me rends compte, oui, l'invité avait dit ça, j'ai complètement oublié. Mais ça fait pas si longtemps que ça, c'est genre trois épisodes. Mais imagine le nombre de choses qu'on oublie dans notre planification quand ça date de six mois, un an quand tu reviens à faire ta planif. Ça, ça m'a confirmé qu'on est sur la bonne voie. Puis des fois, c'est ça que je trouve le fun d'aller à l'extérieur.

speaker-0 (39:31.214)

C'est qu'un, t'apprends les nouvelles choses, clairement avec les deux conversations que je te parlais tout à l'heure. Mais deux, ça te confirme si t'es sur la bonne voie ou non ou... Ok, ah, c'était bien dans la direction dans laquelle je m'en vais, mais faut juste deviner un petit peu, tu sais. je pense que ça, on peut pas... Fait que c'est bref, je te dirais que c'est un peu ça. Fait que tu sais, deux choses à retenir, je pense, pour les gens. Un, si vous... Soyez conscients de l'auditoire en avant de vous quand vous faites une présentation orale. Puis ayez une conversation avec les gens. Plutôt dire comme...

Tu devrais mettre l'apprentissage au centre. Une autre façon de le faire qui plus conversationnelle, c'est de je ne sais pas si vous êtes d'accord avec moi, mais je pense que l'apprentissage va prendre une place d'avantage prominent dans le coaching. C'est complètement différent, mais c'était tu devrais, vous devriez, tout. Pendant 20 minutes, je suis comme...

speaker-0 (40:21.855)

Si c'est tes employés à la limite, peut-être.

Mais quand c'est vraiment une conférence de différents?

T'as des gens qui sont du calibre équivalent à toi. C'est pas tout monde qui peut aller là, c'est vêté cette conférence-là. Pour aller à la conférence, ils checkent littéralement si travailles avec du monde de haut niveau.

Je pense que personne ne la recette magique ou la recette gagnante. Je pense que juste co-créer ensemble, va être beaucoup. Oui, ça fait. Merci, c'est vraiment intéressant. J'aimerais vraiment tu me donnes des moments à clé de ta visite dans l'ensemble.

Pour moi, moment clé, clairement que vivre l'expérience du soccer anglais, c'était clé. Après ça, une des sorties, le jeu du soir où est-ce que tu avec huit personnes dans différentes ligues, différentes équipes de sports professionnels à échanger, puis tu te rends compte qu'il y en a qui ont les mêmes problèmes que toi, l'autre bas de la planète ou au sud de la frontière. Ça, c'était vraiment intéressant. Mais la présentation de Chris Hagen, c'était un moment clé. Après ça, quand le Royal Dramatic

speaker-0 (41:20.894)

En tout cas, la présentation de l'École d'art dramatique de l'Angleterre, où est-ce que tu voyais les acteurs et l'actrice être là pendant cinq minutes, puis là il fait comme « Coffee? Yes? Sure? No. Coffee? No? Sure? Yes? Pendant cinq minutes. Pendant cinq minutes, mais juste de se pratiquer à le formuler différemment. Le point de cette présentation-là selon moi, c'était de dire que maintenant est-ce que...

On peut faire la même technique, le même script dans leur cas, mais il plein de façons d'exécuter. Puis moi, ça me faisait penser aux passes au hockey. On fait des passes au hockey, vous en faites, vous en faites des pratiques. Puis moi, j'en ai vu des pratiques, je sais comment, et là, c'est qu'on en fait des passes. Mais à quel point on pratique des fois de dire, OK, on est juste un en face de l'autre, puis là, on va faire 100 passes l'un après l'autre, mais chaque passe doit être différente. Parce qu'en bowling, ces deux acteurs-là, l'acteur et l'actrice, il y avait le même script. Là, je l'ai mal dit, mais c'était coffee, no, sure, yes. Pendant cinq minutes,

il faisait juste le faire, mais dit de façon différente que l'intentation et le feeling que tu avais de la scène, tu comprenais qu'il était peut-être dans un parc ou il était peut-être à maison et il y en un qui était blasé. Juste ça, je trouve qu'il y avait des parallèles à faire avec le coaching. Ça, c'était quand marquant parce tu il a d'autres aspects de cette formation qui étaient marquants, mais je pense encore une fois que, tu on peut vraiment apprendre d'autres domaines.

Le

speaker-1 (42:43.95)

Ben oui, puis là, le domaine, plus cinéma, théâtre, on le transfert dans l'espace.

C'est c'est une école. J'ai fait une recherche un petit peu par après. Il a des gens comme Tom Hiddleston, que les gens connaissent mieux sous le nom de Loki, qui a été là. Alan Rickman, le gars qui fait le méchant dans Die Hard, mais qui fait aussi le professeur Rogue ou Severus Snape dans Harry Potter. Il a la grand-mère Marjorie dans Game of Thrones, était Diana Rigg, qui a aussi fait un rôle dans James Bond autrefois. Je trouve ça quand même intéressant de voir, c'est quand même, parce qu'il y a 28 personnes acceptées avec des gros noms comme ça.

Il doit y avoir quand même une recette derrière ce qu'ils font.

non, certain.

Après combien de temps peut-on se dire qu'on est excellent en dessin, en cuisine ou en sport? Comme vous le savez très bien, ça prend au moins 10 ans à se former et à se perfectionner pour devenir un expert ou une experte. C'est pourquoi je fais affaire avec Mador Amel quand il est question de décision financière. Mador Amel, c'est un cabinet d'assurance avec permis en fond commun de placement auprès d'Investia Services Financiers.

speaker-0 (43:49.742)

leur équipe a accompagné des centaines de personnes et gens à 170 millions de dollars en investissement pour des particuliers et des organisations depuis 2001. Par exemple, ils travaillent avec des dirigeants d'entreprise, des médecins et diverses organisations de partout au Canada grâce à leur licence de pratique dans plusieurs provinces. Mais à mon avis, c'est pas juste leur expérience pour vrai qui les rend excellent, c'est aussi le fait qu'ils agissent comme des coachs financiers. Depuis 2011, j'ai vu cette expertise-là à l'oeuvre pour ma propre famille, honnêtement.

Grâce à leur approche, on a pu acheter notre maison idéale en 2019, réaliser un projet d'aménagement majeur en 2022 tout en préparant solidement notre fonds de retraite. Mais au-delà des résultats, plus grande valeur, je le disais, c'est comme être un coach, c'est le conseil et l'accompagnement dans la prise de décision. Comme un coach, il t'empêche de commettre des erreurs quand tu vas gérer tes émotions dans le feu de l'action, que ce soit quand ta vie a changé ou qu'il y a des fluctuations sur les marchés. Personnellement, ce que j'apprécie particulièrement,

parce qu'ils investissent vraiment pour les personnes avec qui ils travaillent. Leur slogan, c'est d'être des conseillers de vraie vie et je peux vous dire que c'est le cas. Prenne pas juste des clients pour prendre des clients, ils te prennent quand tu es rendu là dans ta vie et qu'ils peuvent vraiment t'aider en faisant des analyses honnêtes de tes décisions financières. Alors que tu veux acheter une maison, payer les études de tes enfants, culturer ton fonds de retraite comme travailleur indépendant ou travailleur à contrat, investir pour ton organisation,

Je t'invite à prendre ton premier rendez-vous gratuitement via le madoramal.com et mentionner Coach Frank. Quand on magasine de l'équipement de fitness, on fait souvent face au même dilemme. Soit c'est des prix abordables, mais c'est pas très solide ou fiable. Soit c'est de qualité, mais ça coûte une fortune. C'est exactement le défi que je vivais quand j'étais copropriétaire d'un centre d'entraînement pour acclète. C'est à cette époque que j'ai connu feo.ca, fitness, l'entrepôt de l'Outaouais, depuis près de 30 ans.

Ils ont trouvé la formule parfaite. Pour compliquer, pour venir de l'équipement de qualité à prix abordable, c'est pas trop demandé, c'est exactement ce qu'ils font. Ils peuvent répondre à tous les besoins en équipement parce qu'ils opèrent avec une division commerciale et une division résidentielle, offrant ainsi une gamme complète d'équipement de cardio, de musculation, de réhabilitation, de yoga, de pilates, de boxe, de MMI et de supplément nutritionnel, en veux-tu, en v'la. Donc en 2017, en tant qu'ancien joueur de football, qui se respecte,

speaker-0 (46:14.638)

Je voulais m'acheter justement un rack à squat pour mon entraînement à la maison. Mes critères étaient clairs. Il que ce soit stable quand il y avait 300 livres à bord, puis que ça commence pas à chéquer de partout, puis que ce soit durable à un prix qui fait du sens. bien, le rack que l'équipe de feo.ca m'a recommandé répond encore parfaitement à ces critères-là aujourd'hui, huit ans plus tard. C'est encore mon équipement de prédilection dans mon sous-sol. Un rack, barbell, de la fonte. On n'a pas besoin de plus que ça dans la

D'ailleurs, leur expertise parle d'elle-même avec des partenariats établis avec la Défense nationale, 25 écoles et universités, plus de 30 hôpitaux et des dizaines d'organisations gouvernementales qui ont tous choisi FEO pour leurs besoins d'équipement. Cette confiance-là par plusieurs institutions confirme à mes yeux qu'ils offrent vraiment le meilleur rapport qui a été pris sur le marché. Feo.ca reconnaît aussi l'importance des premiers répondants en leur offrant des rabais spéciaux. Donc si ça vous concerne, allez-y.

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Et puis, si je suis un professionnel comme toi, Frank, que je devrais retirer de ça?

1, la place de l'apprentissage. 2, définir sa culture, puis commenter ce qu'elle va se mettre en action. 3, la présentation de Royal Academy of Dramatic Arts. Avant de l'aider, il faut que tu connectes. eux autres, ont un drill, justement, qu'ils font pour faire ça. Puis ils nous l'ont montré, justement. Puis là, je fais des mouvements de doigts parce qu'il des mouvements de doigts inclus dans le drill. Je pense que ces trois éléments-là, c'est bien. Et trop souvent, si tu veux leader un groupe,

speaker-0 (48:01.366)

Commence par connecter avec le groupe, puis après ça tu vas voir l'idée de groupe.

Je pourrais pas mieux dire. Merci beaucoup. Avant qu'on se quitte, j'aimerais aussi te poser deux questions qui proviennent de nos auditeurs. La première, c'est en tant qu'entraîneur, comment peux-tu maintenir la motivation et l'intensité de tes athlètes après une victoire, alors que ces derniers ont une attitude plutôt nonchalante, comme si la job avait été déjà complétée?

C'est une très bonne question. Je pense qu'il a deux enjeux là-dedans. Tu as la motivation et as un peu la culture. Je pense qu'il a beaucoup de prévention qui doit être faite par rapport à cette situation-là. Ça veut dire que si l'accent des objectifs qui ont été établis avec l'équipe à travers la saison sont toujours sur les résultats, donc si on revient à la décomposition des objectifs en résultats,

c'est-à-dire gagner un championnat, gagner des games, performance, nombre de tirs au but, processus, durée de tes shifts ou nombre de shots que tu vas prendre en pratique. Si la majorité des objectifs que tu as établis durant la saison et que tu discutes régulièrement avec les athlètes sont sur les résultats, et là tu arrives à une game et ils atteignent ce résultat-là, we're good. Alors que si l'accent est davantage mis sur le processus et la performance, je pense que ça va faire que comme, OK, oui, on a gagné.

mais je pense que le nombre de tir au but était pas de quoi, ou le nombre de chances de marquer était pas de quoi, ou OK, on n'a pas réussi à rentrer. Si, exemple, le taux de succès de ton entrée de zone, toi, tu penses qu'on devrait être à 70%, vous avez gagné la game parce que vous avez réussi 40%, mais à chaque fois que vous rentrez dans la zone, vous tu la scarrer parce que le gardien de l'autre bord était pas excellent, bien, je pense que ça, ça va beaucoup aider. Le deuxième élément, c'est aussi, je pense que même dans la productivité personnelle, quand t'es un peu down, je pense que tu devrais toujours regarder tout ce que t'as accompli.

speaker-0 (49:50.638)

Comme, sais, ça m'arrive de manquer de motivation. Puis là, je suis assis. Je regarde, je OK, finalement, ça avance quand même, tes affaires, sais. Puis de l'autre côté, quand tu es un petit peu trop confiant, tu dis, j'ai pas fait ça, j'ai pas fait ça, j'ai pas fait ça, tu sais. Je pense que ça, d'avoir cette perspective-là, c'est deux outils que j'utiliserais. Le deuxième, particulièrement dans un discours, quand tu parles à ton équipe ou quand tu parles de la préparation pour la prochaine semaine.

Oui, vraiment d'établir les attentes puis vraiment d'avoir ce qui sont ouvertes avec les joueurs par rapport à ça. La deuxième question, ça serait comment peut-on développer des relations solides et de confiance avec les athlètes tout en maintenant un leadership fort? Puis juste avant que tu réponds à la question, trouve, normalement c'est une excellente question parce que je trouve souvent, parfois il a des coachs qui veulent laisser les friendly, avoir une bonne relation avec les athlètes, mais ça peut être perçu comme un manque de confiance. l'entraîneur, veut trop être friendly, il veut que tout le monde...

les athlètes l'apprécient, fait que je pense vraiment une question qui peut être pertinente.

Oui, puis c'est une question complexe. dans fond, je vais donner une réponse quand même courte, considérant le contexte de la question. tu il a plusieurs genres là-dedans. Le premier qui me vient à l'esprit, c'est la modélisation. C'est-à-dire comment est-ce que tu te comportes. C'est-à-dire qu'il a personne qui va suivre une personne qui n'est pas confiante. C'est-à-dire que pour qu'un leader soit efficace, il que quand même un minimum de confiance en toi et où, en fait, surtout que tu projettes de la confiance. On espère que tu sois confiant, mais il faut que tu en projettes.

Pour ça, de modéliser un peu la confiance et la façon dont on se compas, super. La deuxième chose, je pense que un des éléments, c'est vraiment que les athlètes comprennent que tu es là pour avoir leur bien en tête. Chaque fois qu'il une décision qui faite qui peut les amener à se pousser, à vouloir être obligé de se dépasser si on veut, que les athlètes sentent vraiment que non, non, c'est pour votre bien ou c'est pour votre développement.

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Mais l'affaire, c'est que ça, faut pas juste le dire, puis tourner les affaires. Puis ça, c'est un des problèmes des fois où est-ce que, non, mais je fais ça pour votre bien, oui, un peu, c'est parce que c'est parce que toi, tu veux gagner le match pour ta fiche de coach qui va t'amener potentiellement à aller au plus haut niveau. Fait que ça, l'affaire, c'est que les athlètes le sentent. Ça se sent, là. En tout il une expression en anglais, mais c'est comme les choses que tu évacues, ça se sent. En fait, c'est des intentions se ressentent. Les intentions...

se sentent dans une salle. Puis je pense que ça, faire vraiment attention. de dire, les athlètes, ils vont le voir à travers le temps si tu fais le choix pour eux. Fait que ce soit dans le recrutement, que ce soit, dans le recrutement quand, mettons, t'es un coach au niveau collégial ou un coach au niveau même midget ou un coach au niveau universitaire, puis tu dis, je veux te placer, puis ça, ben regarde, je veux te mettre dans ce rôle-là parce que toi, ça va t'amener justement à aller là. Mais que ce soit vraiment le cas, pas juste une, manipulation en bout de de ce temps-là. L'autre affaire aussi qui est un principe,

moins scientifique, mais je pense que ça représente bien l'idée, c'est de dire, tu tu t'en vas une soirée, là. Mettons que tu as un gala d'équipe, tu sais. Je ne sais pas exactement le contexte de l'entraîneur, tu sais. Mais tu sais, il a un moment que la soirée elle lève, puis qu'elle atteint une autre coche. Mais si tu es le leader de l'équipe, c'est à moment-là qu'il faut que tu t'en ailles. Tu sais, c'est correct que ton équipe évacue, mais que toi, faut pas que tu fasses ça. Parce que là, si tu restes dans ces moments-là, selon moi, tu crées...

tu franchis la ligne de justement, deviens ton ami plutôt que ton leader. Ça, c'est un autre élément. Puis l'autre élément, c'est avoir un intérêt personnel pour la vie des athlètes, puis qui sentent que c'est vraiment sainsa. C'est un intérêt pour la vie personnelle. Tu participes aux activités sociales, mais tu t'en vas au moment où ça commence à lever. Puis après ça, je me rappelle plus les deux autres choses que j'ai dit, mais si tu mets tout ça ensemble, je pense que généralement, tu peux avoir un leadership fort tout en étant proche des athlètes. Mais là, ça, prend en jasé pendant trois jours.

Oui, non, te... puis ça donne un très bon point de départ. tu sais, j'ai une expérience personnelle. Les entraîneurs, que j'ai eu, ou ce que j'apprécie probablement le plus, c'est ce qu'il y avait le côté humain là-dedans, qui avait vraiment l'intention des athlètes à coeur, là.

speaker-0 (53:37.486)

Je que donne un point de départ.

speaker-0 (53:55.086)

C'était des amis et ils ne jouaient pas à Rocket League ou à je ne sais pas trop quoi. Avec toi le soir. Je pense que c'est ça.

il y avait le côté vraiment professionnel, mais que quand tu lui parlais, tu sentais que tu parlais pas juste à un entraîneur, tu parlais avec une personne derrière.

Exact. Tu sais, si, exemple concret, si tu vas faire un voyage en Italie avec tes athlètes, là, c'est un peu l'autre extrême, comme c'est correct de parler d'autres choses que ton sport. Tu sais, ça c'est un cas, que pas que j'ai vécu, mais qui est vraiment arrivé, c'est-à-dire comme tu as un voyage d'équipe, là, comme c'est correct de parler d'autres choses.

Oui, absolument. Ben là, le podcast tire à sa fin. En allant, je suis vraiment content d'en entendre parler. Je pense que les auditeurs vont pouvoir vraiment retenir beaucoup de bons, des points clés. C'est ton podcast. Je vais te laisser le mot de la fin. Qu'est-ce tu as à dire pour nos auditeurs qui écoutent l'épisode?

Ben premièrement, je vais faire comme tous les éditeurs, je vais remercier l'animateur. Donc merci Vincent d'être prêté au jeu. C'était la première expérience comme animation d'un podcast. Je pense que tu très bien fait ça. Deuxième, tu comme ce que j'ai à retenir, puis ce que je veux que les gens retiennent, je pense qu'il faut s'assurer d'observer comme professionnel. Puis quand je parle d'observer ici, n'est pas question d'observer des pratiques, d'observer du monde. C'est d'observer les tendances internationales. Ça, c'est un comportement, un des cinq comportements pour...

speaker-0 (55:10.542)

nécessaire pour être un innovateur. Avec ça, observer, ma visite d'étude m'a permis d'observer. Deuxième chose, en lien avec ça, c'est important de sortir de sa chambre d'écho. Peu importe ta chambre d'écho elle est quoi, que ce soit des coachs de hockey ou des coachs de football ou que ce soit du provincial ou du national parce que tu es tout le temps dans le même monde, sors de ta chambre d'écho. Puis le troisième, il n'y a personne qui va tomber de sa chaise quand je vais dire ça, mais c'est l'importance de l'apprentissage. Puis ça, j'ai eu une conversation d'ailleurs dans un bar avec une personne bien placée par rapport à ça, puis on disait...

Pourquoi il a encore du monde qui se sentait à dire que nous autres on veut performer, puis on veut performer, puis on veut performer, on pas le temps d'apprendre, pas le temps de développer? Comme, t'as peu, Il y a des organisations de la Bundesliga, la ligne de 5-1-1, qui nomment des directeurs de l'apprentissage et du développement. Puis eux, leur thinking derrière ça, c'est de dire que si on développe notre monde, on va mieux performer. Si on performe mieux, on va savoir comment se développer, et ainsi de suite. trois. Prenez le temps d'observer. Je ne pas faire comme la personne de la Football Association, mais...

Je vous invite à prendre le temps d'observer, à sortir de votre chambre d'écho, puis à vraiment faire le lien entre l'apprentissage et la performance. Ce serait pas mal ça. Donc là-dessus, tout le monde, je vous remercie d'avoir été là pour un autre épisode de temps d'arrêt et je vous dis à la prochaine pour, espérons-le, un autre bon podcast.

J'ai une invitation exclusive pour vous. À tous les mois, j'envoie une infolette que vous trouverez nulle part ailleurs. À l'intérieur, avez l'accès prioritaire aux conclusions de mes recherches, aux articles les plus percutants que j'ai consultés récemment, à mes réflexions aux idées avant-gardistes que j'explore, que ce soit sur l'intégration de l'intelligence artificielle dans le sport, dans le coaching ou bien dans les nouvelles méthodes d'enseignement et de pédagogie. C'est comme avoir une conversation privilégiée avec moi et mes collègues qui produisent du bon stock.

où je vous guide à travers les idées qui façonnent l'avenir du coaching et du sport avant que ce soit répandu. Plus de 500 entraîneurs, leaders sportifs, dirigeants et consultants en performance reçoivent déjà ces réflexions exclusives. Alors si les conversations de temps taré vous inspirent et que vous voulez rester à l'avant-garde, rejoignez ce groupe select de leaders sportifs. Pour vous inscrire, rendez-vous sur coachfrankphd.com ou suivez le lien dans la description. Merci.

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d'être avec moi dans cette quête de l'excellence sportive et on se retrouve au prochain épisode.

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