#144 : Comment devenir un entraineur-chef efficace dans un sport d’équipe?

Notes de l'épisode :

00:00 Introduction au Coaching Sportif

02:06 L'Importance de la Science dans le Coaching

05:09 Le Leadership de Martin Saint-Louis

10:22 Le Tough Love dans le Coaching

14:56 Environnements de Haute Performance

19:49 Le Coach comme Architecte

19:57 L'importance des valeurs dans le coaching

25:16 L'impact de l'intelligence artificielle dans le coaching

35:57 Choisir entre connaissances et chimie dans l'embauche

39:03 Nouveautés sur le site web et conclusion

Speaker 1 (00:00.258)

épisode 144, comment devenir un entraîneur chef efficace dans un sport d'équipe. Bonjour tout le monde et bienvenue à Temps d'arrêt avec Coach Frank présenté par Madore Hamel. Je suis votre animateur François Rodrigue et mon intention avec le balado et bien c'est de déconstruire l'art et la science du sport et plus particulièrement le travail des entraîneurs chefs. En tant que docteur en coaching, j'ai la chance de travailler avec des entraîneurs professionnels et d'analyser la science à chaque semaine.

Le balado, c'est ma façon de vous amener au cœur de mon travail pour décomposer la stratégie de ces entraîneurs ou même les conclusions des dernières études de scientifiques. Aujourd'hui, on va discuter de la réalité d'un entraîneur chef et tenter de répondre à la question suivante. Comment devenir un entraîneur chef efficace quand on est dans un sport d'équipe? Pourquoi? Parce que ça me chicote. J'ai été dans les dernières semaines observer des entraîneurs au sein de mon travail.

pense que des fois, on n'en parle pas assez sur la place publique. De la complexité que c'est que d'être un temps entraîneur chef, comme tu du leadership à gérer, tu as des plans d'entraînement à gérer, tu as la préparation tactique à gérer. il y a vraiment plusieurs défis. là, si vous êtes à l'écoute, clairement que vous savez déjà ça. Mais c'est pour ça qu'on veut en parler. Puis est-ce qu'aujourd'hui on va répondre à la question, toutes ces questions-là? Probablement pas. Mais c'est vraiment quelque chose qui est à l'avant de mes pensées dans les dernières semaines. Donc aujourd'hui, on a un épisode plus court qui est vraiment destiné aux codes.

Si tu veux en savoir plus sur la complexité de la job d'entraîneur-chef ou même sur l'avancement des sciences du sport, je t'invite à t'abonner au Balado ou à l'infolettre via le site web coachfrankphd.com dans un mot. À tous les auditeurs fidèles, je vous invite à me suivre sur les médias sociaux, à rebondir coachfrankphd.com. Avant de débuter, je précise que ce podcast est indépendant de mon rôle de professeur en kinésiologie à l'Université du Québec en Outaouais, comme je prends les conflits d'intérêt.

très au sérieux, je vous invite à consulter la page concernant mes engagements professionnels sur mon site Web, le coachfrankphd.com, pour en savoir plus. Autrement, mon podcast.

Speaker 2 (02:06.338)

Salut Frank !

Salut Vincent!

suis vraiment content de l'épisode aujourd'hui. J'ai beaucoup de questions à te poser. pense que le du soir aussi, il beaucoup de questions à te poser par rapport à tes derniers projets, les derniers épisodes. J'aimerais commencer avec une première question. C'était en lien avec ta participation au balado de Sports Coaching Hub. C'était comment d'être l'autre côté du micro pour une des rares fois?

Honnêtement, c'est pas mal plus facile que d'être de ce côté-ci du micro. Guest aujourd'hui, je suis encore du même côté que quand j'étais sur le Sports Coaching Hub. Mais c'était vraiment une belle opportunité de jaser de toutes les réflexions que j'ai en tête qui sont un peu en lien avec l'introduction tout à l'heure. Donc, c'était super positif. Puis, c'était fun de parler avec des collègues qui font de la recherche, mais aussi Mike Castle, qui était l'animateur principal, et Olly Lum, ces deux personnes, oui, qui ont des études avancées comme moi.

mais qui coach aussi également et qui travaillent avec des coaches. ça, c'est tout le temps le fun quand on peut vraiment être dans des circuits préacadémiques. On a discuté deux choses en gros. On a discuté de la vulgarisation de la science et des défis du coaching. Des fois, je pense que les chercheurs, même s'ils sont bien intentionnés et la plupart ont une expérience en coaching, puis je devrais agacer là-dedans, mais je pense que je assez connecté. On oublie un peu c'est quoi d'être coach.

Speaker 1 (03:25.934)

Puis c'était le fun en discutant avec Mike et Olly parce qu'on disait, tu sais, c'est-tu vraiment réaliste qu'on s'attend à ce qu'un coach les des scientifiques? Je pense pas qu'il faut changer les articles scientifiques, puis les articles scientifiques ont de la valeur. La science et les études, a la valeur. Les trois, s'en sort dans son travail. Mais en bout de ligne, tu sais, de partager les retombées de la science à travers des balados, comme c'est vraiment important. Et si les coaches sont capables de faire leur bout de chemin,

pour aller chercher la science, que ce soit au travail des balados, puis peut-être des articles. J'ai un client qui en raffole d'articles scientifiques, mais je pense que c'est un moyen d'aller chercher un edge, d'aller chercher un avantage compétitif, de le lire et d'être au courant de ce que la science dit. Parce que, veut, pas, il y a du monde qui font mon truc. J'ai un de mes collègues, comme il travaille directement avec une équipe de l'Ingleterre de la hockey dans ses études. Mais, tu sais, il veut, pas, quand il produit de la science, ça peut clairement aider n'importe qui qui va lire ça par la suite.

Donc, c'était vraiment intéressant. Puis, je pense que ça confirme que le balado, les formats plus courts, en mon sens à moi, c'est une bonne façon de résumer ce que la science dit, puis de la rendre utile pour les coachs.

Non, absolument. j'aimerais peut-être te relancer avec une question. En allant avec les entraîneurs, pour tous les fans des Canadiens qui doutaient de Martin Saint-Louis parce qu'il a coaché seulement une équipe P.O.I avant son entrée dans la Ligue nationale, mais là qu'on voit qu'ils sont efficaces, qu'ils vont super bien, qu'ils sont haut classement, comment tu peux expliquer l'efficacité de Martin Saint-Louis comme entraîneur avec une équipe qui jeune en Allée canadienne de Montréal?

Je ne pas s'il est tout courant, Martin Saint-Louis fait plusieurs décisions et fait plusieurs comportements qui sont directement en lien avec les dernières avancées scientifiques. Puis ça, tu fais référence au contenu d'un blog qu'on a publié dans les derniers jours. Puis cette réflexion-là, m'est venue en route pour aller observer un coach. Donc, je suis allé voir un coach.

Speaker 1 (05:34.062)

En préparation pour un de ces matchs, durant un de ces matchs, puis après le match, donc on a discuté ensemble, je rentrais dans le vestiaire, on a parlé de toute l'efficacité. Puis en route, bon, je réfléchis beaucoup à de quoi on va jaser quand je vais le voir en personne, mais en route, j'ai écouté la participation de Martin Saint-Louis à l'émission Les amateurs de sport, d'une radio à Montréal, je me rappelle pas laquelle. Puis dans son intervention, il parlait de son leadership, il parlait de son authenticité.

et de la façon dont il inspirait les joueurs. les animateurs disaient, ok, il y a vraiment le contrôle de sa chambre. Les joueurs sont à l'écoute de lui et tu peux le voir quand il fait des éducatifs. Et là, a un segment super intéressant que je pense qu'il trop souvent oublié, le contenu de ce segment-là de Martin-Saint-Louis, par les entraîneurs. C'est quand il parlait de la vérité. J'invite, puis on va mettre le lien dans la description de l'épisode, comme il parlait de dire, moi j'ai ma vérité sur...

Comment est-ce qu'on devrait opérer une équipe de hockey? Puis l'important, c'est de bien le communiquer aux athlètes, aux joueurs, puis qu'ils comprennent c'est quoi ma vérité, puis qu'ils croient dans cette vérité-là de la façon dont on devrait jouer au hockey pour avoir du succès. Et ils disent, dans le climat qu'on a, je veux m'assurer par exemple que si eux, leur vérité, est pas la même que la mienne, il faut que je le sache, puis il faut qu'ils me le disent, parce que...

c'est plus important qu'on arrive à notre vérité, donc que les deux, vérité qu'on a en tête, c'est la même, que que ça soit arrivé à ma vérité. Voulant dire que les joueurs croient dans le système de jeu, dans les principes de jeu, dans l'orientation du plan de match, c'est crucial. Puis pourquoi je parle de ça, puis pourquoi ça m'a éveillé, c'est parce que ça fait des années. Je pense que j'avais envoyé une note à des coaches en 2018, quelque chose de même, qui leur parlait du modèle mental

partagé. Là, clairement, scientifique, je sais que je déchevaille en compte de ce que j'ai dit dans l'introduction, je suis conscient de ça. Mon modèle mental partagé, c'est ce que Martin et Saint-Louis appellent notre vérité. C'est-à-dire qu'il a une étude, je ne pas quelle année, je devrais avoir la référence, on la mettre en dessous, à quelque part entre 2015 et 2020. Clairement, parce que je n'ai parlé en 2018, elle est produite en 2015 et 2018. Ça, c'est une autre histoire. Ce qu'elle a fait, c'est qu'ils ont étudié des équipes de Netball.

Speaker 1 (07:57.358)

participaient aux championnats du monde. Ce qui a déterminé, c'est que plus la vérité était partagée entre les joueurs et les entraîneurs, plus l'équipe avait une chance de gagner une médaille dans le championnat du monde. C'est-à-dire que le plus important, c'est pas que tu ailles le système parfait. Le plus important, c'est que le système que tu mets de l'avant, donc ton échec avant, ton système de couverture défensive,

Ce que les joueurs en comprennent, c'est exactement ce que tu veux qu'on comprenne. Et même si ce n'est pas le système parfait, si vous arrivez à votre vérité ensemble, vous allez augmenter vos chances de succès. Ça, ça veut dire quoi? Ça veut dire que quand tu demandes à tes joueurs, comment est-ce que notre récheck avant fonctionne? Ou comment est-ce que notre couverture homme à homme en défensif fonctionne? Quand tu leur demandes de l'expliquer, plus si tu leur faisais faire un examen, par exemple. Je ne suis pas en de vous dire de faire un examen, mais ce serait...

Enlèvement, tu pourrais le faire, mais il faudrait voir le contexte avant. Admettons que tu ferais un examen au joueur, puis là leur dis « OK, explique-moi notre échec avant et toutes les étapes de A à Z ». Puis tu demandes au coach de mettre la réponse sur papier aussi avant. Ce que les coaches écrivent, plus c'est similaire à ce que les joueurs répondraient dans l'examen, plus tu as de chances de gagner. Parce que si ce que les joueurs décrivent, c'est la même chose, de dire OK, on veut que F1 fasse la pression sur le défenseur à partir du cours

sur du côté court, on veut que F2 soit à peu près à la hauteur des oreilles, après ça F3 et ainsi de suite. Je ne pas encore un expert à hockey, même si je m'avance, je ne pense pas que je me suis mis les pin-en-plus jusqu'à date. Mais le point avec ça, c'est de dire plus la description serait la même, plus tes chances de gagner sont bonnes. Quand Martin Saint-Louis parle de la vérité, de notre vérité et de croire à la vérité, c'est exactement ça. C'est impressionnant.

Je ne pas de où est-ce qu'il prend ça, mais si c'est juste de son instinct, bravo à ses capacités d'observateur. Et s'il prend ça de personnes qui font partie de son secte d'expertise, comme on a parlé à l'épisode 140, encore plus bravo parce que ça veut dire qu'il s'entourer. Ce n'est pas par hasard que le Canadien de Montréal a un bon début de saison. que ça, c'est juste un de tous les éléments que je parle dans le blog, que j'ai écrit dans le blog, qui viennent de cette réflexion-là que j'ai eue en route en écoutant son segment.

Speaker 1 (10:22.614)

j'aimerais prendre une petite pause pour reconnaître notre partenaire-titre Mador Amel. C'est un cabinet d'assurance avec permis d'investissement chez Investia Service Financiers. Ma famille leur fait confiance depuis 2011 pour notre planification financière et cette relation nous a permis de critiser plusieurs projets importants dont l'achat de notre maison idéale en 2019 et le financement d'un projet paysager majeur en 2022. Leur plus grande force, c'est le conseil humain.

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Est-ce son style fonctionnerait à tous les niveaux? C'est vraiment propre à la ligne nationale.

Bonne question. Je pense que son style pourrait probablement fonctionner à plusieurs niveaux. Parce que, dans le pire des cas, il est peut-être trop pédagogue pour la ligne nationale à hockey. Tu traites des enfants de 13 ans et moins. Être trop pédagogue, ça se peut-tu? Pense pas. Par contre, il faut être conscient de l'équilibre entre les exigences et le soutien.

Speaker 1 (12:17.62)

qui va au deuxième point qui était dans l'article, c'est-à-dire le tough love. Le tough love, j'en ai parlé à la radio il quelques jours, comme oui, j'ose dire le mot tough love en 2025. Le problème avec le tough love, c'est que c'est les coachs abusifs qui s'en servent comme justification de coaching abusif. Le tough love, c'est pas un problème en soi. Le problème en soi, c'est l'harcèlement, l'intimidation, puis ces choses-là, puis de botter des poubelles. Ça, on met ça sur la glace pour aujourd'hui, c'est pas le but.

Mais l'idée avec le tough love, c'est ce que Martin Saint-Louis décrit aussi dans son segment aux amateurs de sport. C'est-à-dire qu'il dit, je vais être demandant à mes joueurs, je vais m'assurer qu'ils performent bien, je vais leur dire la vérité. Là, on ne pas de la vérité dans sens de compréhension du système de jeu, on parle de dire ce que je vois vraiment de leur jeu. Et je vais les soutenir puis je vais les aider pour arriver à leurs objectifs. Mais ce n'est pas vrai que je vais pas leur dire ce qu'ils veulent entendre.

MEEEE

Speaker 1 (13:12.894)

Ça fait un lien avec une autre étude, une étude où ils ont regardé des joueurs professionnels de rugby. Dans l'étude des joueurs professionnels de rugby, ils ont parlé aux joueurs qui ont été gardés dans l'équipe, mais aussi aux joueurs qui ont été coupés. Ce qui est intéressant là-dedans, c'est que les deux s'attendaient à avoir du coaching demandant. Fait que même si tu coupé, tu sais que ton coach devrait être sur ton cas et t'a demandé de bien faire. Ça, ne pas en déroger.

T'es dans le sport professionnel, tu te prépares pour aller aux Jeux olympiques. Tu peux pas dire, fais ton mieux, mon grand, fais ton mieux, grande, pis, ben, au moins tu vas avoir essayé. oui, il faut avoir cette partie, tu faire de son mieux, je comprends. Mais à mon année, c'est parce que si tu veux être une meilleure équipe de la Ligue nationale de hockey, si tu veux gagner une médaille en gymnastique féminine, ben, faut que les exigences soient là. C'est ce qu'on entend dans Martin-Saint-Louis. Pis quand je parle de tough love, c'est les exigences, c'est le tough, c'est demandant. Mais le love, c'est de soutenir.

c'est d'aider, c'est d'encourager. Puis le problème avec les coachs abusifs dont on peut pas trop parler aujourd'hui, c'est qu'il manque le love, il manque l'amour. C'est comme un exemple, je pense que j'en parle de peut-être deux blogs là-dedans, où est-ce que on en voudrait-tu vraiment un père de famille qui demande un A +, à ses enfants, mais qu'après ça, il s'asseoir avec ses enfants tous les jours pour faire les devoirs avec ses enfants. Comme là, y a plus de choses qui rentrent là-dedans, mais si on prend juste l'exemple que je viens de mentionner, tu demandes des A +, à tes enfants,

mais ultimement tu les aides, ben t'es là pour leur devoir, ben il est où le problème? C'est là qu'on a du tough, demandant, pis du love. Pis je pense que ça, Martin Saint-Louis il fait vraiment bien.

Récemment, as lu un article de Erickson et Hall 2025 sur les environnements de haute performance. Est-ce que tu pourrais nous donner un petit peu de contexte sur cette lecture-là et nous mentionner ce qui t'a le plus frappé?

Speaker 1 (15:10.104)

Oui. bien, tu sais, ça fait un peu en lien avec les réflexions justement de Martin Saint-Louis où est-ce que je m'attarde beaucoup au rôle de l'entraîneur-chef. Puis plus le temps avance, plus c'est ça qui va être au centre de mes réflexions, je crois, parce que comme entraîneur adjoint, t'es tout le temps un peu limité dans ton rôle. C'est-à-dire que t'as beau arriver avec l'éducatif, le drill le plus créatif au monde. Si ton entraîneur-chef est sur le point de se faire congédier, ben...

il ne va peut-être pas te laisser faire un drill qui a l'air un peu bizarre de l'extérieur parce qu'il veut pas avoir encore plus de pression. Bref, je m'attends principalement à l'entraînant chef. Et cette étude-là a passé du temps avec quatre entraîneurs d'équipe nationale danois. Le Danemark est un pays quand même avant-guerrisse dans le sport de haut niveau. Donc, ils ont passé du temps avec leur programme de golf, leur programme de badminton, le programme d'aviron et puis le programme de paradressat.

La valeur de ces exemples-là, c'est que c'est quatre programmes de performance, mais deuxièmement, c'est tous des programmes où l'entraîneur est là depuis plus de dix ans et a eu plusieurs succès à travers les années. Donc, c'est des programmes de pays scandinaves qui ont du succès à travers les années. Puis apparemment, le succès est attribué à l'environnement d'apprentissage, l'environnement de performance qui est dans ce climat-là. Puis les quatre choses ou la première chose qui ressort de ça, c'est...

L'importance d'avoir des noms négociables. De dire, moi, mes valeurs comme coach, c'est le respect, c'est l'intégrité, c'est X. Elles sont présentes, elles sont claires, les valeurs sont définies, puis il n'y a pas de flexibilité par rapport à ça. Puis aussi de faire le lien entre ces valeurs-là, puis qu'est-ce que ça représente concrètement sur le terrain?

Et ces quatre coaches-là, font vraiment bien. C'est une des choses qui ressort de l'article. L'autre chose qui ressort, c'est qu'on doit voir l'entraîneur-chef comme un architecte. C'est-à-dire qu'il en a qui vont parler des fois qu'un entraîneur-chef est un maestro. C'est-à-dire qu'on regarde notre équipe de musiciens, penser à un maestro qui ajoute ses baguettes en avant. Et on va s'assurer que l'exilophone part au bon moment. On va s'assurer que notre violoncelle part au bon moment. On va essayer d'envoyer le bon rythme, etc.

Speaker 1 (17:36.908)

Pour les gens qui ne pas trop familiers avec les orchestres symphoniques, pas que je suis tellement familier, je n'étais à quelle reprise, puis j'ai une personne qui connaît un maestro, je vais dire, relativement bien. Un des enjeux avec les maestros que les gens ne réalisent pas, c'est que le son voyage, je vous promets, je vais faire le lien avec le coaching dans quelques instants, mais le son voyage, veut dire que si tu pars l'exilophone, et que l'exilophone est en arrière de ton orchestre, en tout cas de ton groupe de musiciens,

Le temps que le son arrive à l'avant de la scène, c'est pas le même que si tu pars le violoncelle qui lui est à trois pieds toi en avant. Fait que quand t'es maître, faut que tu parles le xylophone un petit peu avant que tu parles le violoncelle si tu veux que les sons soient en même temps. Fait que ça prend une grosse coordination de ça. Le point avec ça, je reviens au Polarstern en quelques instants, c'est que comme coach, faut que te dises, OK, si on veut gagner aux Jeux Olympiques de Los Angeles,

Qu'est-ce qu'il faut que je parte en 2025, qu'il va être prêt aux Jeux Olympiques Los Angeles? Qu'est-ce qu'il faut que je parte au mois de septembre, si je veux gagner la Coupe Stanley rendue au mois de juin ou au mois de janvier? Ça que maestro, on doit connaître tous les instruments de l'orchestre. Un, puis deux, on doit comprendre le timing des choses. Parce que j'ai entendu, j'encourage les coachs à penser à ça. On veut que nos athlètes performent bien quand ça compte. Il y a du monde qui s'occupe de ça, des psychologues sportifs et des concitants de performance mentale. Je vous recommande tous d'en avoir dans votre équipe.

de 1, mais 2. Ce pas deux semaines avant un jeu olympique, ça les coaches de haut niveau le savent, mais des fois dans le sport professionnel, dans les sports plus de baseball, c'est pas deux semaines avant ça qu'il faut se préparer à performer sur demande. Donc il faut que tu le partes en avant, même à faire avec un plan de nutrition. Il a des choses qu'on peut travailler un peu sur ça. Fait que là, il s'inchroniser. Mais le point avec l'architecte de cette étude-là, c'est de dire que tu construis une bâtisse, puis il faut vraiment que tu sois conscient de c'est quoi les...

fondamentale de ta bâtisse et comment est-ce qu'elle va persévérer à travers le temps. Et si on prend un architecte qui construit des ponts, la chose c'est que ton pont, faut qu'il soit régéné parce qu'il faut qu'il puisse avoir 100 000 autos par jour qui passent dessus.

Speaker 2 (19:49.568)

Mais...

Si ton pont est trop rigide, qu'est-ce qui va arriver Vincent? Tu as entendu parler de ça?

Si je me trompe pas, dans le fond, il va juste s'effondrer. Il va briser plus rapidement.

Exactement. Donc ton pont, c'est un architecte, c'est un coach. Il faut que tu le fasses solide. faut qu'il y ait des bons ancrages. Là, je reviens, et là aussi, vous m'avez suivi, c'est le lien avec les valeurs. Les valeurs doivent être bien définies, faut qu'elles soient bien ancrées. Mais si tu trop rigide dans ta structure, qu'est-ce qui va arriver? Ton pont va casser, ton équipe va casser. L'analogie de l'architecte est les ben meilleures, je pense, pour bien représenter ce qui se passe. Et puis, c'est là que toi, comme coach, comme architecte,

tu dois d'abord commencer à mener, il appelle ça en anglais « leading through values », donc de diriger par les valeurs, puis de sélectionner les accolettes en fonction des valeurs. Et eux vont même recommander, ne sélectionne pas les accolettes qui partagent pas les valeurs de ton programme. Puis ça, c'est encore plus important. Deuxième affaire, c'est de mener à travers une structure qui est claire. Puis ça me fait penser, j'ai une conversation avec un entraîneur adjoint dans un bon niveau que je ne nommerais pas, dans un sport d'équipe également.

Speaker 1 (21:00.474)

semaine. tu ça fait plusieurs années qu'ils sont en poste. Je veux dire entre trois et cinq ans pour éviter l'identification. Puis un enjeu quand ça fait trois et cinq ans qu'il est en tête d'un programme, c'est que là, tu as expliqué tes valeurs, tu as expliqué tes mœurs, tu as expliqué tes façons de faire la première année. Parce que quand tu rentres pour la première année, voici comment ça va se passer. Le respect, l'honnêteté, l'effort, blablabla. Voici ce que ça veut dire en plus. Là, on a des joueurs ou des joueurs qui retiennent ces messages-là.

Mais quand tu rendu à ta troisième, quatrième année, est-ce que tu l'as répété exactement avec la même précision et la même intensité à travers l'année 3K? Non. Ça se perd à travers le temps. Fait que ces architectes-là, du coaching de haute performance au Danemark, ce qu'ils vont faire, c'est être très clair dans où est-ce qu'on s'en va, c'est quoi les étapes, répéter les valeurs et des choses comme ça. Deux autres choses qui ressortent, ils vont être super bons à traiter les athlètes comme des personnes entières.

C'est-à-dire pas juste des machines qui sont prêtes à performer, comprendre qu'ils vont avoir d'autres intérêts, même les encroageants vont avoir d'autres intérêts. Ça, ça fait un lien, je me rappelle plus où parce qu'il a plusieurs projets qui se passent en ce moment, mais où est-ce que... Je pense même que c'était peut-être deux blogs ou dans la présentation à la radio il a quelques jours, où est-ce qu'une des situations qui ressortaient, c'est que j'ai lu une étude qui parlait à des athlètes qui ont gagné plusieurs médailles olympiques. Puis il y en une de celles-là, que dans son année où est-ce qu'elle a gagné des médailles olympiques...

Elle a décidé de commencer à faire du bénévolat et de s'inscrire à un programme universitaire. Donc de recommencer un bac. Dans l'année olympique! Et si tu te fies à cette athlète-là, elle pense que c'est à cause de ça qu'elle a gagné. Parce qu'elle s'est rendue compte qu'elle était capable de d'autres choses que de juste faire son sport, de un. Mais deux, ça a changé d'idée. Fait que là, moi, ma question, j'aurais bien traité les athlètes comme des personnes entières, c'est à quel point vous vous encouragez les athlètes à faire autre chose. Tu sais là, t'es un entraîneur chef d'un programme, j'allais dire, football.

Je pas que ce un exemple réel, mais vous allez me comprendre. C'est un athlète qui arrive de la France. Il arrive ici, il joue au foot. Super, super motivé. Et là, lui, il arrive, puis il part de... Peut-être qu'il avait des amis qui parlaient tout le temps de manga. Peut-être qu'il avait des amis où est-ce qu'il allait avec... Je ne pas, il faisait du pain avec sa famille. Et là, quand il arrive au Canada, il ne plus de pain avec sa famille. La culture des mangas, elle est moins dominante que dans certaines régions de la France. Ça, c'est une source à sursous, une étudiante qui me l'a dit dans le passé. Il dit là, là...

Speaker 1 (23:26.644)

lui apport son sport. Dans cet exemple-ci, le football, qu'est-ce qu'il y a? Ça devient obsessif, ça devient problématique, puis il des enjeux de préparation mentale là-dedans. Ça devient important d'encourager la clé à être autre chose que juste ça. Et le dernier point, en fait, on est toujours les noms négociables parce que c'est un article vraiment intéressant, c'est de coordonner le staff au complet. Plus le temps avance, de passer du temps...

à être clair dans c'est quoi le rôle du préparateur physique, c'est quoi le rôle du psychologue, c'est quoi le rôle du constructeur de performance mentale, c'est quoi au rôle de certains entraîneurs parce qu'en gymnastique par exemple, on a des entraîneurs d'équipe puis on des entraîneurs personnels. Après ça, tu arrives au patinage artistique, tu vas voir des chorégraphes et tu vas voir des entraîneurs techniques. Fait que de bien coordonner tout ça, ça devient un élément et super super important. Et puis si tu me le permets Vincent, mais comme c'est mon pancay, je suis pas rassuré que tu vas me le permettre.

il y avait aussi, ils ont identifié quelques déséquilibres, quelques tensions, quelques déséquilibres. Comme quoi, bien, la première, c'est de trouver c'est quoi le juste milieu dans l'équilibre entre l'intensité de la compétition intra-équipe, mais aussi de développer un sens de communauté. Ça, je invite juste les coachs à y réfléchir, j'ai pas de solution. dire, comme, mes joueurs sont intenses.

mes joueurs veulent gagner, il faut les faire compétitionner ensemble parce qu'à un bout de ligne ils se compétitionnent pour être sur le premier trio, pour être sur l'alignement à part temps. Mais après ça, de l'autre côté, il ne pas le faire au prix de la communauté. Où est-ce que vous êtes là-dessus dans votre équilibre entre l'intensité de la compétition et le sentiment de communauté? Il a quelque chose qui vraiment important et il en a plusieurs autres, mais là, ça fait déjà un bon petit bout que je suis parti sur mon monologue à propos des dilemmes dans les environnements de performance.

Super intéressant. J'aimerais qu'on passe à une question sur l'intelligence artificielle. aussi fait une autre lecture parce que, coach, tu fais beaucoup de lecture dans ton quotidien. Tu as fait une lecture sur la co-intelligence, les premiers pas avec l'intelligence artificielle de Martin Legary. Comme la dernière question que t'ai posée, j'aimerais peut-être que donnes un petit peu de contexte. Puis, qu'est-ce qui t'a surpris dans cette lecture-là?

Speaker 1 (25:44.494)

Martel Aguerrier, pour mettre en contexte, c'est un conseiller au développement des entraîneurs dans la région du Taouais. Puis comme je crois beaucoup d'en redonner à César ce qui revient à César, je veux juste lui faire un shout out officiel sur le podcast pour lui dire merci de la recommandation de la lecture. Donc il m'a vraiment recommandé de lire le livre Co-Intelligence de Ethan Malik. Et puis on va revenir un jour probablement avec un épisode complet sur l'intelligence artificielle dans le coaching. Mais je suis encore en train de faire ma tête. Puis je regardais ma carte conceptuelle, longue histoire courte, tu l'imaginais un gros papier sur lequel je mets comme 100 post-its. J'ai essayé d'organiser, puis c'est quoi les liens entre les différents concepts.

suis encore à l'idée de rester en post-it sur ma feuille en ce moment, mais je ne sais pas encore où tous les liens entrent, puis je me pose des questions. ça, cette question-là me vient d'un dirigeant dans le sport professionnel qui m'a posé la question. Tu Frank, j'ai commencé à gosser avec l'intelligence artificielle parce que gosser, c'est littéralement le terme. Puis je ne suis pas sûr de comment est-ce qu'on devrait l'intégrer dans le triquet. Il y a tellement de choses qu'on peut faire. À court terme,

La recommandation que j'ai à fort, c'est je vais juste vous partager peut-être quelques différentes options. Dans le livre Co-Intelligence, puis on va y revenir à Co-Intelligence, il se dit que tu peux t'en servir de différentes façons. Il dit la première, tu pourrais pas la première, mais moi je vous dire la première, puis là ça va être surprise surprise, tu pourrais t'en servir comme un coach. C'est-à-dire que je suis pas sûr que c'est bon pour te trouver des informations puis des essais. Parce que l'intelligence artificielle,

peux faire ce que tu veux avec, mais ça ne te donne jamais exactement ce que tu veux. S'il y en un de vous autres qui a gossé à faire une image avec stable diffusion, avec Manus, avec je pense les mid-journey ou quelque chose comme ça, tu leur demandes de faire une image, les images sont belles, mais c'est jamais exactement ce que tu as besoin. Le point avec ça, c'est que plutôt que s'en servir comme quelque chose qui peut te donner les réponses, je vous invite à vous en servir comme quelque chose, tu peux te poser des questions.

Toi, t'as forcé à trouver des réponses. Moi, je me sens beaucoup comme ça en ce moment. J'ai entraîné avec mes schémas de questions que j'ai développé et j'ai trouvé durant mon doctorat. Puis, j'ai dit, ok, là, je un petit peu bloqué dans ma réflexion, fais juste me shooter des questions. Parce qu'avec ce que je fais comme travail, moi, peux pas juste prendre l'information de l'IA, la prendre pour du cash, puis la donner au coach. Comme, probablement que ça va pas nécessairement être mauvais, mais...

Speaker 1 (28:04.32)

J'ai potentiellement la victoire et la défaite des coachs en mes mains quand je leur fais des recommandations si elles sont bonnes ou pas. Donc, il faut que ça vienne de moi puis que ce soit validé. Je ne vais pas juste prendre ce que lui a dit. Mais par contre, l'IA peut m'aider à me poser des questions. Donc, ce que je vous recommanderais de faire, c'est de tu as pas un projet dans Cloud ou un agent dans Chatch. Jpt. Et tu lui dis, regarde, ton rôle est de me poser des questions pour que je trouve les réponses, ne me suggère aucune réponse. Donc, tu préparé un petit script comme ça. OK, l'intelligence artificielle, je vais m'en servir comme un coach. Mais l'autre chose.

Si tu n'as aucune idée, par exemple, sur comment faire un plan d'affaires, tu peux te servir ou un plan d'enseignement, par exemple. Tu peux te servir de l'IA comme un tuteur. Tu dis OK, tu pars un long paragraphe et tu vas lui demander en gros, agis comme le meilleur tuteur au monde. Ton but, c'est de me guider à travers toutes les étapes nécessaires pour que j'apprenne en même temps que je conçois un plan d'enseignement ou un plan d'affaires, par exemple.

Et là, l'IA va vraiment t'accompagner étape par étape là-dedans. Puis je pense que ça, c'est s'en servir davantage adéquatement que si on s'en sort comme Google. Parce qu'il a des enjeux avec Google. L'exemple, pas de Google, mais avec les légendes artificielles, l'exemple. Pour ceux et celles qui ont des enfants, ça va parler. Ceux qui en ont pas, restez avec moi, je vous garantis ça va faire du sang.

Speaker 1 (29:25.742)

Quand tu demandes à l'intelligence artificielle, à quel âge on peut arrêter de mettre nos enfants sur un siège, un booster dans les autos, donc un siège amovible qui fait qu'ils sont plus hauts et qu'ils peuvent s'assier. Quand tu regardes la réponse et que fais le test avec Claude, Gemini et 4GPT, sont trois types d'intelligence artificielle, pour celles qui ne servent pas, eh bien, il va te dire que soit 9 ans ou, je pense, 145 centimètres.

Mais cette réponse-là, elle est fausse. Puis la source, elle me vient d'un avocat qui a révisé la loi et je l'ai révisé moi aussi également. Ce que la loi dit, c'est que pour que tu enlèves le booster de ton enfant, ça soit, que l'enfant aille 9 ans et 145 centimètres. Mais l'enfant, c'est que dans la loi, ça c'est ce que la loi dit, Mais quand c'est écrit dans la loi, c'est écrit comme en négatif, puis avec un ou, un sans. C'est-à-dire que l'enfant doit rester sur un chiège s'il a moins de 9 ans.

il est moins de 145 centimètres. Dans la loi, elle s'écrit « ». Mais la façon que c'est formulé, vous n'avez pas juste de m'avoir suivi, faites-moi confiance là-dessus, ça veut dire « ». Parce que si tu as un ou l'autre, il que gardes le banc. Donc, pour plus avoir le banc, faut que tu aies atteint les deux. Puis celui-ci de la SAC, il utilise le terme « ou » dans le mauvais sens, en voulant dire que c'est soit 9 ans ou soit 45 centimètres. Fait que quand ils ont entraîné l'intelligence artificielle, donc, puis on dit « OK, regarde ce qui se passe sur le web, puis dis-nous c'est quoi ».

La réponse qui ressort, parce que le but de la démonstration à ce moment-là, il faut se rappeler ça, c'est pas une personne qui arrive avec des réponses. C'est un système de calcul des probabilités. Le terme le plus probable qui est censé arriver après, l'enfant doit voir devant. C'est-tu « ou c'est « »? C'est « ou ». Fait que la réponse est « ou ». Mais ça, c'est faux. Pour qu'un enfant ait plus son booster, il faut qu'il ça. Donc, il faut pas s'en servir comme une source pour trouver l'information et se fier sur cette information-là. Ça peut nous donner un point de départ.

Mais c'est bien mieux de s'en servir comme un tuteur qui connaît les étapes, qui se passe sur le web ou bien d'un coach qui va te refléter des questions. Après combien de temps peut-on se dire qu'on est excellent en dessin, en cuisine ou en sport? Comme vous le savez très bien, ça prend au moins 10 ans à se former et à se perfectionner pour devenir un expert ou une experte. C'est pourquoi je fais affaire avec Mador Amel quand il est question de décision financière. Mador Amel, c'est un cabinet d'assurance avec permis en fond commun de placement.

Speaker 1 (31:51.222)

auprès d'investisseurs services financiers. Leur équipe a accompagné des centaines de personnes et gens à 170 millions de dollars en investissement pour des particuliers et des organisations depuis 2000 ans. Par exemple, ils travaillent avec des dirigeants d'entreprise, des médecins et diverses organisations de partout au Canada grâce à leur licence de pratique dans plusieurs provinces. Mais à mon avis, ce n'est pas juste leur expérience pour vrai qui les rend excellent, c'est aussi le fait qu'ils agissent comme des coachs financiers.

En j'ai vu cette expertise-là à l'oeuvre pour ma propre famille, aidement. Grâce à leur approche, on a pu acheter notre maison idéale en 2019, réaliser un projet d'aménagement majeur en 2022 tout en préparant solidement notre fonds de retraite. Mais au-delà des résultats, plus grande valeur, je le disais, c'est comme être un coach, c'est le conseil et l'accompagnement dans la prise de décision. Comme un coach, il t'empêche de commettre des erreurs quand tu vas gérer tes émotions dans le feu de l'action, que ce soit quand ta vie a change ou qu'il y a des fluctuations sur les marchés.

Personnellement, que j'apprécie particulièrement, c'est ce qu'ils investissent vraiment pour les personnes avec qui ils travaillent. Leur slogan, c'est d'être des conseillers de vraie vie et je peux vous dire que c'est le cas. Prenne pas juste des clients pour prendre des clients, ils te prennent quand tu es rendu là dans ta vie et qu'ils peuvent vraiment t'aider en faisant des analyses honnêtes de tes décisions financières. Alors que tu vas acheter une maison, payer les études de tes enfants, structure ton fonds de retraite comme travailleur indépendant ou travailleur à contrat,

investir pour ton organisation, je t'invite à prendre ton premier rendez-vous gratuitement via le madoramel.com et mentionner Coach Frank. Quand on magasine de l'équipement de fitness, on fait souvent face au même dilemme. Soit c'est des prix abordables, mais c'est pas très solide ou fiable. Soit c'est de qualité, mais ça coûte une fortune. C'est exactement le défi que je vivais quand j'étais co-propriétaire d'un centre d'entraînement au Raclette. C'est à cette époque que j'ai connu feo.ca.

fitness l'entrepôt de l'Outaouais. Depuis près de 30 ans, ils ont trouvé la formule parfaite. C'est compliqué, pour venir de l'équipement de qualité à prix abordable, ce n'est pas trop demandé, c'est exactement ce qu'ils font. Ils peuvent répondre à tous les besoins en équipement parce qu'ils opèrent avec une division commerciale et une division résidentielle, offrant ainsi une gamme complète d'équipements de cardio, de musculation, de réhabilitation, de yoga, de pilates, de boxe, de MMI et de suppléments nutritionnels en veux-tu, veux-là.

Speaker 1 (34:15.342)

Donc en 2017, en tant qu'ancien joueur de football qui se respecte, voulait m'acheter justement un rack à squat pour mon entraînement à la maison. Mes critères étaient clairs. que ce soit stable quand il y avait 300 livres à bord, puis que ça commence pas à shaker de partout, puis que ce soit durable à un prix qui fait du sens. Eh bien, le rack que l'équipe de feo.ca m'a recommandé répond encore parfaitement à ces critères-là aujourd'hui, huit ans plus tard. C'est encore mon équipement de prédilection dans mon sous-sol. Un rack, une barbelle, des de la fonte.

On n'a pas besoin de plus que ça dans l'hôpital. D'ailleurs, leur expertise parle d'elle-même avec des partenariats établis avec la Défense nationale, 25 écoles et universités, plus de 30 hôpitaux et des dizaines d'organisations gouvernementales qui ont tous choisi FEO pour leurs besoins d'équipement. Cette confiance-là par plusieurs institutions confirme à mes yeux qu'ils offrent vraiment le meilleur rapport qualité prix sur le marché.

Feo.ca reconnaît aussi l'importance des premiers répondants en leur offrant des rabais spéciaux. si ça vous concentre, allez-y. Pour toutes les autres personnes, visitez Feo.ca et utilisez le code promo COACHE pour profiter de 10 % de rabais sur tous leurs équipements. Les produits en liquidation sont exclus de cette promotion.

L'épisode sera à sa fin, mais juste avant qu'on termine l'épisode, on va se poser des questions d'histoires. Il y en a une qui je trouve très intéressante. vient de Félix. Non, excuse, de Marc-Olivier. Puis la question va comme suit. Est-ce que j'embauche l'entraîneur avec les meilleures connaissances ou celui avec la meilleure chimie?

Bonne question. Et puis, ça, c'est une question, je pense, que les gens se posent pas assez quand ça vient le temps d'embaucher un nouveau coach. Puis, c'est vraiment important parce que, comme dans n'importe quoi, embaucher la mauvaise personne, coûte cher. Autant parce que tu vas être obligé de la congédié remplacée éventuellement, donc tu payes son salaire par extension, ou deux, ça peut faire des dommages, autant ta performance qu'à ton climat. Et la réponse, c'est que moi, je donne, c'est toujours la meilleure chimie. Si tu fais un lien avec ce que j'ai dit tout à l'heure, une personne qui croit dans notre vérité,

Speaker 1 (36:26.068)

lié avec le blog de Martin Saint-Louis. Deuxième élément, leadership à travers les valeurs des entraîneurs danois. C'est-à-dire que nos valeurs doivent être les mêmes. Puis ça, la raison, c'est qu'il faut que la personne, soit capable d'adhérer au climat de l'équipe. Mais là, il faut faire attention. On veut une personne qui est loyale, mais loyale ne veut pas dire obéissance. C'est-à-dire, toi, Vincent, là, t'es loyale, puis ça, je le sais, comme tu vas toujours travailler pour le bien de notre équipe. Mais si je me plante, puis si je dis une miaserie, là...

souvent me le dire. Ça, ça fait assez longtemps qu'on travaille ensemble, j'ai aucun doute. Sans même en faire avec, je vais prendre deux autres personnes avec je travaille, ça c'est des informations publiques juste dans ma job à l'université. Quand je travaille avec Jérémy puis que je travaille avec Isabelle, si je dis n'importe quoi, ils vont me le dire. Mais ça, c'est de la loyauté. Je sais qu'ils vont toujours travailler dans les intérêts de ça, mais quand je suis dans le champ, ils vont me le dire. Mais là, meilleur chimie. Ne veux pas dire, j'embauche une personne qui va m'obéir. Ça veut dire...

J'embauche une personne qui va adhérer à la vision de l'équipe, pis qu'en privé, va me le dire quand ça marche pas. Pis j'ai l'exemple d'un coaching staff en tête en ce moment, un entraîneur-chef plus expérimenté, d'un jeune un peu plus innovateur et dynamique, mais qui a pas peur de dire ce qu'il pense, mais il est super loyal, le coach là. Ben ça, c'est ça qu'on veut. Fait que, est-ce que j'embauche par exemple les meilleurs connaissances sur celui que la meilleure chimie? Non, parce qu'avec l'intelligence artificielle, le cheveu un peu contradisque que j'ai tout à l'heure, vous allez voir le lien, et avec tout l'accès à l'information aujourd'hui,

Les connaissances ne sont pas le facteur limitant. Ce qui le facteur limitant, c'est ton savoir-être, c'est ta capacité travailler avec les autres. Si tu as quelque chose à apprendre, on va l'apprendre ensemble, puis on va pouvoir le trouver. Puis oui, les connaissances, c'est important, mais être capable de passer ton message avec les athlètes, être capable de trouver une solution avec le coach XSaf, on revient à l'architecture des sports danois que je parlais tout à l'heure. Un des facteurs importants, c'est de l'ider l'équipe de soutien. Pour l'aider l'équipe de soutien, c'est ta chimie, ton climat, c'est bien plus important que les connaissances.

En bout de ligne, ma recommandation numéro 1, c'est toujours la meilleure chimie. Si tu deux personnes qui se sentent très bien dans la chimie de l'équipe que tu veux avoir, tu peux prendre la personne avec le meilleur connaissance, il a pas d'enjeu là-dedans.

Speaker 2 (38:34.062)

Super. Très intéressante comme réponse. Je d'accord, je pense à des questions qu'on se pose pas assez souvent, mais c'est une réflexion à voir quand on engage ou on embauche les entraîneurs ou autres personnels de l'équipe. Avant les mots de la conclusion, avant qu'on oublie de le mentionner, le site web a un petit peu de changement. Le site web a maintenant des filtres. Par thème, est-ce que tu veux nous expliquer un peu le fonctionnement?

de la nouvelle version de web.

Oui, tout à fait. on en parlait tout puis moi durant l'été, je pense. Il y a ben du monde, des fois, vont me texter, envoyer un courriel, envoyer un courriel au podcast, puis ils dire « Hey, t'as-tu un épisode qui parle de leadership? » Clairement que oui, personne qui surpris de ça. T'as-tu un épisode qui parle de nutrition ou de golf? » Puis là, t'es comme « Eh oui, ok. Puis là, je commence à connaître les numéros par cœur dans ma tête. Golf, je pense que c'est quelque part comme 32. Si ça vous intéresse. Ceci t'en dit, maintenant, il a un filtre sur le site Web, puis il y a des tags.

des étiquettes. Tu peux rentrer dans le fil et dire taper golf. Tu te dis OK, Patrick Gaudreau, tu allais sur le podcast de Frank. T'écris Gaudreau, ça va le trouver. je vous invite à aller voir sur le site web coachfrankphd.com slash balado. pouvez cliquer juste sur balado aussi, sur la page principale. il des étiquettes, on les a toutes regroupées par leadership, psychologie, ces affaires-là. Donc ça vous les a à trouver plus rapidement.

Super, merci. C'est ce qui met la fin à l'épisode d'aujourd'hui. Si vous avez aimé les discussions, n'hésitez pas à nous envoyer des questions. Ça va nous faire plaisir de prendre vos questions en notes et de permettre à Coach Frank d'y répondre pendant les épisodes à venir. On adore répondre à ce que vous vivez sur le terrain, donc n'hésitez surtout pas. Merci, Frank, pour l'épisode d'aujourd'hui.

Speaker 1 (40:23.662)

Merci à toi Vincent d'avoir été là. puis donc on a 6 questions déjà en banque pour les prochains épisodes, je vous invite à les envoyer. Merci tout le monde d'avoir été là. Et puis si les défis de la vie d'entraîneur-chef font partie de votre quotidien, je vous invite à vous abonner au Ballado ou à l'Infoletre. Sinon, je vous dis à la prochaine pour un autre épisode de Tent de l'Alé.

Speaker 1 (40:53.376)

J'ai une invitation exclusive pour vous. À tous les mois, j'envoie une infolette que vous trouverez nulle part ailleurs. À l'intérieur, avez l'accès prioritaire aux conclusions de mes recherches, aux articles les plus percutants que j'ai consultés récemment, à mes réflexions aux idées avant-gardistes que j'explore, que ce soit sur l'intégration de l'intelligence artificielle dans le sport, dans le coaching ou bien dans les nouvelles méthodes d'enseignement et de pédagogie. C'est comme avoir une conversation privilégiée avec moi et mes collègues qui produisent du bon stock.

où je vous guide à travers les idées qui façonnent l'avenir du coaching et du sport avant que ce soit répandu. Plus de 500 entraîneurs, leaders sportifs, dirigeants et consultants en performance reçoivent déjà ces réflexions exclusives. Alors si les conversations de temps à arrêt vous inspirent et que vous voulez rester à l'avant-garde, rejoignez ce groupe select de leaders sportifs. Pour vous inscrire, rendez-vous sur coachfrankphd.com ou suivez le lien dans la description. Merci.

d'être avec moi dans cette quête de l'excellence sportive et on se retrouve au prochain épisode.

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